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compteur live

dimanche 23 août 2009

L'éphémérité de toutes choses

Bien que toutes choses présentes soient définies dans l'espace, le temps et la matière, tout est éphémère. La pensée propre est éphémère, le bonheur, la paix, la joie, la vie, moi, vous, nous tous, sommes tous éphémères. Rien n'est sans qu'il soit pour autant quelque chose auparavant.
Nous portons rarement attention aux choses banales de la vie car nous prenons pour acquis que ce ne sont pas des choses éphémères. La rosée le matin, c'est une chose qui ne dure pas. Il disparait une fois le soleil sorti. Nous prenons pour acquis qu'elle va revenir le lendemain, et pourtant parfois ce n'est pas le cas. Imaginons que cette rosée était la dernière fois qu'on la voyait mais que nous nous en étions pas préoccupée par ignorance de l'éphémérité de cette chose. Peut-être que ça ne vous préoccupe pas non plus de savoir qu'il n'y aurait plus de rosée. Imaginez maintenant si l'oxygène, tant vital, devenait du jour au lendemain une matière rare, voire même inexistante. C'est pourtant ce qui se prépare avec le fameux problème des gas à effet de serres détéeriorant la qualité de notre oxygène. Regardons à long terme, cet oxygène nous paressant évidant, que nous prenons pour acquis, ne l'est plus. Il n'est plus. Il est une chose éphémère comme toutes choses.
Oui nous sommes présents dans l'espace et le temps, mais le problème est que le temps rend toutes choses éphémères. Le temps est ce qui fini toujours par nous enterrer, ce qui signifie que rien n'est fait pour durer. Nous sommes tous fugitifs de notre propre vie, mais le temps fini toujours par nous retrouver.

Il y a que très peu de choses qui soient éternelles. Il n'y a uniquement deux choses qui puissent être décrite comment éternelles: la pensée en elle-même ainsi que le temps. La pensée propre a une fin incessante. La pensée d'avoir faim est éphémère, la pensée d'un évènement à venir l'est aussi. À son contraire, la pensée en elle-même est perpétuelle. La pensée est infinie tel que plusieurs philosophes ont pu l'exprimer. Par contre, d'un autre point de vue, la pensée propre à un humain devient éphémère étant donné que l'être humain lui-même l'est. Puisque l'homme a une fin, ses pensées le deviennent aussi. Alors est-ce que la pensée en elle-même aussi devrait être considéré comme éphémère ? Oui il est vrai que nous puissions penser indéfiniment mais si l'homme cessait de vivre, il n'y aurait plus de penser. Alors certainement que la pensée devrait être aussi éphémère. D'un autre côté, la pensée crée l'homme. Si nous ne pensions pas, l'homme ne serait rien. Ainsi cela voudrait dire que la pensée est indépendante de l'être humain.
Laissons un peu de côté le sujet de la pensée et retrouvons l'autre élément éternel: l'âge. L'âge et le temps est sans contredit une chose perpétuelle. Si vieux qu'on soit, on est plus jeune qu'on ne le sera jamais. Peu importe le passage de l'homme sur Terre, l'âge continu d'être; le temps continu d'avancer. Tel que mentionner dans le haut de ma page web, " chaque seconde qui passe est une de plus dans son âge mais une de moins dans sa vie." La vie est éphémère alors que l'âge, lui, est éternel comme le temps.


Le temps est ce qui empêche les choses de nous arriver toutes en même temps. C'est simplement pour nous permettre d'être ici, aujourd'hui, profitant du moment présent. Hier est parti pour toujours, demain ne viendra peut-être jamais, mais ce qui est sûr, c'est que seul aujourd'hui est présent.

dimanche 16 août 2009

C'est officiel !

Eh voilà !
C'est n'est plus seulement officieux mais c'est rendu officiel ! Le cap du 20 000 mots a été atteint ! J'aurai réussit à écrire 20 000 mots en moins d'un an ! C'est magique, j'ai écrit 20 000 mots en 200 jours exactement lors de la création de mon site web !

Quand le porc est le modèle de l'homme

Nous avons souvent entendu parler que le coeur du porc serait semblable à celui de l'homme. L'est-il vraiment ? Selon de multiples études, le porc est l'animal ayant la physiologie digestive la plus proche de l'humain. Plusieurs meurent par manque de coeur suite à l'attente d'une transplantation de coeur. Pour ainsi dire, la xénotransplantation (greffe entre espèces), serait un moyen de sauver notre espèce...Partant uniquement du coeur du porc, nous pouvons même se confondre entre ce dernier et un coeur humain. De plus, après des études sur la condition physique des porcs, il a été déterminé qu'un porc pouvait courrir aussi vite qu'un sprinteur en ayant des fréquences cardiaques similaires. Ainsi, le coeur serait parfaitement adapté pour le corps humain. La question de l'éthique reste un problème. Est-il éthiquement correct de transplanter un organe d'un autre animal à l'être humain ?




D'autres part, le porc n'a pas uniquement le coeur de semblable à l'humain mais pratiquement tout; partant de la cage thoracique jusqu'aux organes tels que le coeur, les poumons, les reins, le foie, et le cerveau. Cette même étude a démontré que le cerveau du porc, d'autant plus développé que l'on pourrait prétendre, ressemble infiniment à celui de l'homme. Par de simples et anodines différences, ces deux cerveaux peuvent être comparés similairement. Le développement du porc et celui de l'homme serait ainsi semblable. Le porc est-il capable de penser, de rêver ? L'homme serait-il le même avec le cerveau porcin ? Cette étude démontre que le développement du cerveau peut être influencé par la nourriture reçu à l'âge natal. Entre deux porcs, l'un sevré après trois semaines et l'autre sevré après 12 semaines (l'âge normal), une différence majeure se fait ressentir. Tout d'abord, le porc sevré à trois semaines a démontré des tendances agressives. De plus, ce même porc a démontré des symptômes de stress élevé. Les deux porcs ont été introduit dans un bassin d'eau où ils devaient nager afin de trouver une plate-forme. Celui sevré à 12 semaines a nagé avec soin et a fini pour trouver la plate-forme alors que l'autre a paniqué. Dix minutes plus tard, ils ont été réintroduit chacun à son tour, où lui de 12 semaines s'est dirigé directement vers la plate-forme alors que l'autre a une autre fois paniqué.
Ainsi, nous voyons que l'influence du sevrage a eu une répercussion créant un stress chez le porc sevré très jeune, créant un post-stress, d'où l'importance des premières années dès la naissance...



Est-il possible de comparer le comportement porcin à celui de l'homme ? L'influence de notre entourage, de notre nourriture, du moment de chaque repas, des repas eux-mêmes, de l'heure du couché, et autres, détermineraient-ils notre personnalité plus tard ?
L'expression "se faire du sang de cochon" représente peut-être notre inquiétude face au fait que le porc est le modèle de l'homme...




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