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dimanche 31 mai 2009

L'être humain comme sujet psychologique du désir

Voici un travail de fin de session que j'ai faite où la question était "Qu'est-ce que le rêve de l'être humain". Une fois de plus, je ne mettrai pas l'intégrale du document pour vous épargner les détails moins sympathiques. Ce travail m'a mérité une bonne note alors j'en suis assez fier.
Ce texte est de ma pure tête alors observez la richesse du texte :)


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«Le rêve ne pense ni ne calcule ; d'une manière générale il ne juge pas : il se contente de transformer.» - Sigmund Freud


Découvrir est une nécessité; vivre n’en ait pas une. Nous sommes amenés à chercher dans le monde de la fiction ce que nous sommes obligés de refuser dans la vie réelle. Freud dit : « Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent : on n'est pas capable non plus de les chasser ». Ces pensées surviennent de l’inconscience où la connaissance et son sens échappe complètement à la conscience réfléchie. Cette inconscience est tout ce qui peut échapper à la conscience quand l’on cherche à le saisir et à y appliquer son attention. Tant et aussi longtemps que l’inconscient existera, ces pensées auront toujours place à s’étendent puisque «l’inconscient s’exprime à l’infinitif» -Sigmund Freud. Ces pensées se retrouvent dans ce que l’on appelle : les rêves.

Le rêve a toujours exercé une fascination chez l’être humain à cause de deux liens qu’il crée : un rapport avec le réel et le rapport avec la conscience, par contre, il reste toujours de nombreux mystères à son sujet. " L'interprétation des rêves est la voie royale qui mène à la connaissance de l'inconscient dans la vie psychique ", écrit Freud dans La Science des Rêves. Pourtant, qu’est-ce que le rêve de l’être humain? Est-ce uniquement les êtres humains qui rêvent? D’où proviennent-ils? Là est le grand mystère que Freud tente d’expliquer et qui reste toujours aussi fascinant et énigmatique.

Nous voulons savoir si le rêve est susceptible d’interprétation et si le contenu du rêve présente un certain «sens». Il y a plusieurs tendances voulant expliquer ce qu’est le rêve : la première étant que le rêve provient d’une origine surnaturelle, la deuxième serait que le rêve provient des excitations psychiques, la troisième serait que c’est un phénomène provoqué par les excitations corporelles et sensorielles, et le quatrième, est selon le sentiment populaire, que le rêve a un sens où renferme une prédiction. La plus juste conception du rêve ne provient pas de chez le médecin mais chez ceux où le rêve restent un mystère. L’angoisse, l’obsession sont étrangères à une conscience normale, c’est ainsi la même chose pour le rêve avec sa conscience à l’état de veille. L’origine du rêve plonge dans l’inconscient. Freud fait la description de l’inconscient dans son écrit Notre attitude à l’égard de la mort : «Ce que nous appelons notre « inconscient », c'est-à-dire les couches les plus profondes de notre âme, celles qui se composent d'instincts, ne connaît, en général, rien de négatif et ignore la négation.» Il est important de ne pas confondre l’inconscient du subconscient qui sont des concepts totalement différents. L’inconscient est ce qui échappe complètement à la conscience réfléchie même quand le sujet cherche à le saisir et à y appliquer son attention. Tandis que le subconscient est ce qui échappe à la conscience actuelle mais est susceptible de devenir conscient si l'esprit y applique son attention.

Le rêve exprime un souhait, un désir inconscient dont il assure immédiatement la réalisation. Freud décrit le rêve comme étant «des représentations de désirs refoulés dans l’inconscient par le Surmoi». Il dit de plus qu’il est possible de concevoir le rêve comme un substitut de tout le contenu sentimental et intellectuel des associations d’idées». Le rêve oppose deux types de contenus : le contenu manifeste, étant ce qu’on se souvient au réveil, et le contenu latent, les désirs inconscients non apparents.

Le travail du rêve est le processus de transformation du rêve latent en rêve manifeste et le travail d’analyse est le processus inverse. Le travail du rêve est celui qui explique le mieux ce qu’est l’inconscient et le matériel psychique. Suite au travail du rêve, il existe trois catégories de rêvent qui sont créées : les rêvent clairs et raisonnables où ils semblent venir du monde conscient, les rêves uniquement raisonnables, et les rêves incohérents où rien n’est précis et c’est pourquoi c’est la forme la plus fréquente. Les rêves clairs et raisonnables nous intéressent peu puisqu’ils ne frappent pas l’imagination.

Le travail du rêve consiste à faire une association entre le contenu du rêve et l’idée latente. La plus grande parti du travail du rêve est de faire des associations habiles mais qui semblent parfois très poussées. On explique le travail du rêve avec la condensation et le déplacement, qui sont les deux plus grands travails du rêve. La condensation s’explique par le fait que plusieurs pulsions, différentes représentations d’une chose, peuvent être condensées dans une seule représentation. Les idées latentes sont toujours plus nombreuses que les idées du contenu manifeste, c’est ainsi pourquoi le rêve les condense en une seule représentation. Le déplacement, pour sa part, est le déplacement des pulsions, des valeurs. Ce qui, dans le rêve, semble insignifiant peut avoir une répercussion intense dans le monde conscient et vice versa. Comme Freud a dit : «Le rêve ne pense ni ne calcule ; d'une manière générale il ne juge pas : il se contente de transformer.» De plus, il existe aussi la symbolisation qui consiste à remplacer les objets, personnes et situations par d’autres éléments.

Toutes les fois que le rêve manifeste semble troublé, incompréhensible, incomplet, alors il faut penser que c’est l’intervention de la censure du rêve. À chaque fois qu’on se retrouve en présence d’un élément faible, douteux, alors que d’autres ont laissé des images nets, ainsi on doit admettre que le rêve a subi l’action de la censure. La censure, par contre, se manifeste rarement d’une façon si ouverte. Elle s’exerce plus souvent en utilisant des moyens pour diminuer la force des éléments, des moyens pour résumé ce qu’il veut dire et ainsi que des allusions à la pensée véritable. La censure est la principale cause du déplacement du rêve. Il existe deux moyens de censure couramment utilisés par la censure du rêve : la pensée réprimée, consistant à ne pas dire une pensée, et le refoulement, consistant à un processus qui vise à mettre à l’écart les pulsions qui ne peuvent être acceptées par la conscience.

En effet, un rêve est une production involontaire d'actions, de désirs qui se déplacent sous une forme qui ne dérange pas, souvent pendant le sommeil. Un rêve est une manière de vivre des actions, ou bien de revivre une action (souvent arrivée dans la journée même). Par exemple, lorsqu'on écoute un film d'horreur quand on est petit, souvent il arrive que nous fassions des cauchemars. La raison ? Un léger traumatisme au niveau du subconscient qui fait qu'on rêve au film et qu'on en fait un cauchemar. Le cœur se met à battre, les pupilles se dilatent, les glandes sudoripares excrètent davantage et souvent on se réveille suite à cela.

Le rêve est décrit souvent comme arrivant lorsque nous avons les yeux fermés et que nous dormons. Les rêves est une conception unique de notre cerveau en lien avec ce que nous vivons. Il y a même des manières d'analyser les rêves et tenter de comprendre une personne. Le rêve est une expérience sensible ne passant par les organes des sens. Dans le rêve, il y a aussi les mêmes actions que dans la vie éveillée. Il y a aussi de la rationalité (un ordre de la raison), de l'irrationalité, des couleurs, des sens, les mêmes humains. Les rêves sont donc une suite successive d'images.

Se poser la question de la nature des rêves revient à se poser la question de la nature de la conscience éveillée. Rien ne nous garanti que le rêve que nous vivons est bel et bien un rêve. Lors du réveille, il serait possible que nous nous soyons toujours en train de rêver. Ne serait-ce pas possible de rêver qu'on est en train de se réveiller dans notre lit ? Alors, la vie éveillé pourrait, elle aussi, être un rêve. Ainsi, se questionner sur la nature des rêves reste un phénomène complexe.

Dissertation finale - L'être humain


Comme Kant a dit: «Ce qui se passe dans notre tête devrait appartenir à tout le monde».
Alors voici ce qui se passe dans ma tête lorsqu'on me demande d'expliquer si le pouvoir de la pensée humaine provient d'une entité spirituelle, une âme immatérielle séparable du corps, ou bien que l'être humain n'est tout simplement un animal plus complexe que les autres. (Ce n'est pas le texte intégrale puisque je ne me souviens pas entièrement du texte, mais il devrait être le plus proches de la copie complète)


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Découvrir est une nécessité; vivre n’en ait pas une. Nous sommes amenés à chercher dans le monde de la fiction ce que nous sommes obligés de refuser dans la vie réelle. Freud dit : « Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent : on n'est pas capable non plus de les chasser ». Par la pensée, l'être humain est capable de poser des questions, d'y trouver des réponses rationnelles, de désirer, de mémoriser et de se souvenir, d'imaginer et d'inventer, etc. Reste que, un enjeu toujours aussi fascinant sur la dimention fondamentale de la pensée humaine reste énigmatique. L'être humain est-il d'abord et avant tout une entité spirituelle ou simplement un animal plus complexe que les autres ? Il est sûrement le cas que l'âme serait à l'origine du pouvoir humain de penser et connaître.

Une âme spirituelle, séparable du corps, pourrait être à l'origine du pouvoir de penser de l'être humain puisque ce dernier se compose de deux choses: l'être pensant et l'être corporel. Descartes dit dans la troisième Médiation qu'il y a des causes extérieures créant les pensées. Il se dit qu'il est imparfait et fini puisqu'il se questionne sur les origines de la pensée. Pour tout voir, tout connaître, il faudrait être éternel. Ainsi, ce qu'on découvre c'est quelque chose qui était déjà en Dieu. Dieu est universelle et est la cause de tout: il crée l'être corporel, par la suite, crée les idées de choses corporelles, et finalement, avec les idées de perfection, il crée l'être pensant. Descartes dit : « Je suis une chose qui pense, c'est-à-dire qui doute, qui affirme, qui nie, qui connaît peu de choses, qui en ignore beaucoup, qui aime, qui hait, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent». Ainsi, pour lui, la cause des pensées de l'être humain provient de l'extérieur.

Avec la citation précédente de Freud, l'origine de la pensée humaine reste un mystère. Selon lui, ces pensées surviennent de l’inconscience où la connaissance et son sens échappe complètement à la conscience réfléchie. Cette inconscience est tout ce qui peut échapper à la conscience quand l’on cherche à le saisir et à y appliquer son attention. Tant et aussi longtemps que l’inconscient existera, ces pensées auront toujours place à s’étendent puisque «l’inconscient s’exprime à l’infinitif» -Sigmund Freud. L’origine du rêve plonge dans l’inconscient. Freud fait la description de l’inconscient dans son écrit Notre attitude à l’égard de la mort : «Ce que nous appelons notre « inconscient », c'est-à-dire les couches les plus profondes de notre âme, celles qui se composent d'instincts, ne connaît, en général, rien de négatif et ignore la négation.» Les influences extérieures finissent par s'imposer de l'intérieur. C'est donc par les pulsions que les gens pensent. Freud dit «On apprend plus sur quelqu'un grâce aux lapsus qu'en prenant au sérieux ce qu'il dit». Afin de comparer l'origine de la pensée de Descartes et de Freud, comparons leur Dieu respectif. Pour Descartes, Dieu est universelle créant l'être pensant alors que Freud dit que le vrai Dieu est l'inconscient en chacun. Ainsi, l'inconscient est à l'origine de tout. Pour les deux philosophes, Dieu est la source de la pensée humaine provenant de l'extérieur de l'être pensant.

Ainsi avec ces deux philosophes, pour n'en nommer que deux, l'origine de pouvoir de pensée et de connaître provient de l'extérieur. Par contre, selon plusieurs, on ne peut être sûr de rien, personne peut définir l'être humain. Comme dit dans le Discours dans le manifeste du Parti communiste : «Il y a seulement des possibilités». Selon Jean-Paul Sartre, l'âme n'est pas à l'origine de la pensée humaine. L'être humain serait tel qu'il veut, conçoit, mais aussi tel qu'il veut, tel qu'il se conçoit. Sartre a écrit dans L'existentialisme est un humanisme : «[N]ous voulons dire que l'homme existe d'abord, c'est-à-dire que l'homme est d'abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est conscient de se projeter dans l'avenir». Sartre explique la pensée comme étant un tout avec l'être humain; l'être pensant et l'être corporel sont unis, comme explique la citation «L'existentialisme ne pensera pas non plus que l'homme peut trouver un secours dans un signe donné, sur terre, qui l'orientera: car il pense que l'homme déchiffre lui-même le signe comme il lui plaît. Ponge a dit, dans un très bel article: "L'homme est l'avenir de l'homme" ». Le point de départ de l'existentialiste est subjectif de l'individu puiqu'il défini l'humain par l'action. L'existentialisme déclare que même si Dieu existait ça ne changerait rien; il faut que l'humain se retrouve lui-même et se persuage que rien ne peut le sauver.


La pensée ne peut être source que de l'extérieur puisque la pensée est infinie alors que l'être humain est fini, limité.
Tout confirme que l'être humain, par la pensée est capable de poser des questions et d'y trouver des réponses rationnelles, de désirer, de mémoriser et de se souvenir, d'imaginer et d'inventer, grâce à l'âme; une âme immatérielle. Peu importe la chose ou l'être à l'origine de la pensée, cette origine provient de l'extérieur, une entitié spirituelle et non simplement comme un animal un peu plus complexe que les autres.

samedi 23 mai 2009

L'amour dure trois ans

Voici un texte que j'ai écrit pour un projet en secondaire 5 sur un roman:

L'amour dure trois ans


L'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas. L'amour naît d'un sourire, vit d'un baiser et merut d'une larme. 

L'extérieur attire le premier regard, l'intérieur, lui, attire tous les autres. Un regard de tendresse dans les yeux de deux personnes qui s'aiment est la plus belle des choses en amour. «je la regardais pendant des heures. Parfois elle s'en rendait compte et me le reprochait: "arrête de m'observer, s'écriait-elle, tu me gênes". Mais la regarder vivre était devenu mon spectable préféré». L'amour résulte des premiers regards. Le regard dans les yeux de l'autre permet de lire bien des choses qu'on ne pourrait lire ailleurs.

Aimes qui tu es, et la vie t'aimeras. «À défaut d'être au-dessus de tout le monde, on veut être comme tout le monde par peur d'petre en dessous et c'est le meilleure moyen de ruiner un amour véritable. Pour pouvoir aimer quelqu'un d'autre, il faut d'abord s'aimer soi-même». Ce que nous sommes ne doit pas déprendre de ce que les autres sont. Notre personnalité est une chose tellement unique. Il faut avoir notre popre personnalité et chercher le meilleur chez les autres sans toutefois se perdre. En étant soi-même et en ne cherchant pas à faire comme les autres, on devient unique et les autres voudront peut-être être comme nous. En amour, on se fait aimer pour ce qu'on est, pas pour ce que les autres sont.

Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve. «Il faut se décider: ou bien on vit avec quelqu'un, ou bien on le désir. On ne peut pas désirer ce qu'on a, c'est contre la nature. Pourquoi ne peux-tu pas profiter du moment présent au lieu de t'angoisser sur notre futur?». Le désir est un rêve alors que le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. Pourquoi perdre sont temps à penser au futur alors que le présent est si beau. Pour chaque minute qu'on perd à penser à ce qu'on pourrait faire, on perd soixante secondes du moment présent.

Une histoire se forge d'aventures. Une vrai et longues histoire est formée de hauts et de bas qui ont toujours tété surmontés. Cette histoire est donc à l'image qu'on a voulu lui donner. «Le plus dure ne serait pas de quitter la personne qu'on aime mais de renoncer à la beauté de notre histoire». Ce souvenir de tout ce qu'on a passer ensemble, tous les bons moments passés, est si difficile à laisser derrière sans ne jamais plus y penser.

On n'apprend pas à courir avant de marcher. Il y a un ordre dans la vie auquel on doit suivre. Avant d'avoir réussit à marcher, on a tombé plusieurs fois. «Surtout, j'ai appris que pour être heureux, il faut avoir été très malheureux. Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide». Pour forger le bonheur, on doit avoir vécu de la douleur pour apprécier le bonheur à sa juste valeur.

L'avenir est un présent à venir où l'on devra comme maintenant saisir l'instant qui passe. Souvent, le temps nous manque et on voudrait en avoir plus pour pouvoir faire tout ce qu'on a à faire. On se dit qu'on a pas le temps de le faire alors on le fera plus tard. Mais pourquoi remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui? Il faut donc savoir remettre à plus tard pour avoir le temps d'accomplir aujourd'hui ce qu'on aurait dût faire hier.

vendredi 8 mai 2009

Pardonnez-moi.... cela reviendra

Bonjour à tous, malheureusement, cest temps-ci, je suis dans une période d'examen de fin de session à l'école, et vous comprendrez sûrement que je n'ai pas vraiment le temps d'écrire. Voilà la cause principale du ralentissement de mes écrits.
Par contre, je suis dans l'écriture d'un sujet où j'ai dépassé, à ce texte lui seul, 6000 mots.
Il sera diffusé sur le site bientôt après la remise de ce projet de fin de session pour empêcher le plagiat.

Merci,
votre philosophe Gabriel !

dimanche 3 mai 2009

Le refoulement, MOI

Voici ce qui me décrit totalement. Je ne connais pas l'auteur de ce quiz, mais pourtant, c'est totalement véridique.


Gabriel a participé au quiz "comment se defend ton inconscient?" et le résultat du quiz est Il utilise le refoulement....
Il s'agit de refouler une émotion désagréable, ne pas l'exprimer, et parfois en venir à être coupé d'un type d'émotion ou de souvenir. Lorsqu'une représentation, un fantasme ou une idée est inacceptable pour la conscience (car source de déplaisir ou d'angoisse par exemple), elle se voit refoulée dans l'inconscient. Le refoulement est donc un processus qui vise à mettre à l'écart des pulsions qui ne peuvent être acceptées, c'est à dire tolérées par la structure consciente. Ainsi, un refoulement trop actif et trop envahissant amène le sujet à une confrontation parfois violente avec les éléments refoulés, le jour où, suite à un traumatisme, un choc ou une situation réactivant des éléments du passé, le refoulé explose, et arrive d'un coup à la conscience. Le refoulement est un mécanisme de défense très fréquent.


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