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compteur live

vendredi 26 novembre 2010

Stupidité ou naïveté de vouloir être gentil ?


L'être humain est un être voulant son propre bonheur et celui des autres. Pourtant, pour certains, le bonheur des autres passent avant son propre bonheur.

Lorsque la gentillesse envers autrui n'est même plus remarqué, que l'on prend pour acquis votre gentillesse et que l'on vient presque à s'en foutre, on se demande à quoi bon d'être gentil avec tous.
Lorsque la sagesse et la gentillesse se fait envoyer promener et ne se fait même pas remarquer.
Lorsque l'aide apportée à quelqu'un n'est même pas perçue.
Lorsqu'on se sent même pas apprécié.
Lorsqu'on se fait niaiser en voulant être gentil.
Lorsqu'on réalise que l'on attends pour rien pour des gens qui se foutre de toi.
Lorsque personne ne te répond quand tu attends après eux.
Lorsqu'on te répond 15 minutes plus tard montrant que tu n'es pas important pour eux alors que tu les attends depuis déjà plus de 10 minutes.
Lorsque l'on tente d'épargner quelqu'un de faire quelque chose et que cette personne s'en fou.
Lorsque tu dis que tu pars et que l'on te dis que les gens vont te suivre, mais personne ne vient.
Lorsque tu attends seul puisque tu es indépendant mais que tu attends et te fais sentir dépendant aux autres.
Lorsque ton indépendance te montre que tu devrais être dépendant pour ne pas te retrouver tout seul.
Lorsque personne ne semble s'intéresser à toi.
Lorsque ton orgueil prend un coup.
Lorsque même quand les gens semblent t'apprécier, quand ils boivent, tu réalises que tu n'es plus grand chose à leurs yeux.
Lorsque tu n'as plus vraiment d'importance lorsque quelqu'un ou quelque chose arrive.
Lorsqu'on te fait attendre mais que personne n'attendrait après toi.
Lorsque tu réalises que parfois il faut suivre son instinct et ne pas perdre son temps pour des gens puisqu'ils ne feront pas la même chose pour toi.
Lorsque c'est toi qui dit de partir mais que personne ne réagit et tu dois attendre, mais quand c'est quelqu'un d'autre qui le dit, tout le monde l'écoute et réagissent.
Lorsque t'es tanné que ton indépendance et ton leadership te mène nul part.

Lorsque des gens vont rire de toi par la suite en lisant ceci.
Lorsque les gens vont nier toutes ces faits ci-haut mais que dans le fond, une part de vérité s'y cache.
Lorsque l'on sait très bien que rien va changer et que ça sera toujours pareil.
Lorsque l'on se sent mal de réagir ainsi justement par gentillesse envers les autres par peur de les blesser.
Lorsque tu te sent naïf et stupide tout simplement.

Lorsque plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucun point d'ancrage te rattache à ce que tu fais et lorsque tu ne sais plus à quoi s'accrocher...

C'est dans ces moments-là qu'on se demande si ça vaut vraiment la peine....

dimanche 14 novembre 2010

Soyons un miracle




Qui sommes-nous pour juger si une action est morale ou non ? Est-ce que vivre est plus moral que la mort d'une personne ? Dans plusieurs états aux États-Unis, et partout dans le monde, plusieurs personnes n'ont aucune assurance hospitalier. Des coûts faramineux se rattachent à la survie d'une personne. Où est l'action morale dans tout ceci ? Mettre un coût et décider de ceux qui survivront et ceux qui devront attendre. Qu'arrive-t-il lorsqu'une personne est grièvement malade et que sa vie tient par un seul fil ? La moralité d'une action devient une question impossible à répondre dans cette circonstance. Seule la mort d'une personne peut venir sauver la personne grièvement malade. Seule la mort d'une personne décide de la vie d'une autre. Mais où est cette équité dans la vie. Dans le cas où un parent voit son enfant s'éteindre à petit feu en attendant une greffe du coeur, quelle plus grande douleur envisageable que cela. Parfois même, il arrive que les gens ne sont même pas éligibles à la liste d'attente pour une greffe. Voir son enfant en train mourir et ne rien pouvoir faire, être totalement et entièrement à la merci du système de santé.

Lorsque l'attente d'un donneur ne peut plus se faire attendre, une question morale vient surgir dans les esprits de tous parents : S'il faut qu'un autre meurt pour que mon enfant survive, alors pourquoi je ne lui ferai pas don de ma vie ? Qu'est-ce qui devient morale comme action, s'enlever la vie ou bien sauver la vie d'une personne ? Voir son enfant mourir et devoir l'enterrer ou bien que votre enfant vous enterre. Sans aucun doute, aucun parent ne voudrait devoir enterrer son fils. Je vous laisse y penser...


Soyons celui ou celle qui donnera la vie à d'autres. Soyons le miracle que d'autres attendent.

vendredi 12 novembre 2010

Apprendre à se relever, voilà la force de l'Homme





(Musique à écouter en même temps que la lecture)


L'Homme a toujours dut confronter des obstacles et passer au travers. Pourtant, il arrive parfois des moments où la montagne semble plus haute que toutes les espérances. Devant cette montagne, tout espoir disparaît et plus rien n'est pareil. Le ciel semble noir, le gazon brun et les nuages gris. Plus rien ne va...

La joie du coeur n'y est plus et chaque heure semble infinie. La motivation disparaît, l'âme semble envahi et disparaître du corps. La simple idée de ne plus être présent dans le corps passe par la tête, on s'abandonne complètement. Humble mais réaliste, parfois il est impossible de se mettre face à la réalité et de la confronter en pleine figure. La réalité est d'un tel mal qu'il nous devient impossible de vivre dans le présent. Soit on se rappel du passé, soit on se projette dans le futur, pour nous aider à traverser ce moment. Le passé implore des souvenirs et des larmes, le futur crée un vide. Le présent pour sa part n'est impossible à vivre, la douleur est immense et inconcevable. Fuir la réalité par peur qu'elle ne se sauve. Partir, s'en aller loin, autant au sens figuratif, dans les pensées, que loin du monde.


Penser à la réalité vient comprimer les organes à l'intérieur de soi et plus aucune pensée ne traverse l'esprit, le néant total, on réalise à quel point chaque mot peut avoir un pouvoir sur quelqu'un. Les poids des mots lorsqu'on apprend quelque chose est énorme. Parfois les plus petites nouvelles peuvent frapper davantage et venir chercher les émotions à l'intérieur de soi. Un simple mot, une simple phrase peut venir faire basculer la vie d'une personne. Faire réaliser à quel point chacun réagis différemment et comment l'être humain est fragile. Une simple phrase banale peut parfois venir blesser plus qu'un coup au visage. Comme quoi, la réalité peut venir changer une personne et lui laisse une cicatrice qui, tant bien que mal, restera toujours graver en soi.

La joie est un tout; nul ne devrait vivre avec tout autre sentiment. L'être humain devrait être plus fort que cela et être capable de passer au travers. Est-ce normal pour l'être humain de craquer, ne plus avoir le contrôle sur ses émotions ? Ne devrait-il pas être capable de se distancier de ses émotions pour garder le contrôle sur soi ? Chaque personne a sa propre façon de cacher ses sentiments. Certains montreront tout simplement leurs sentiments, d'autres font rire les gens les permettant d'oublier leurs propres problèmes et à cacher leurs sentiments. Lorsque la personne qui fait toujours sourire les autres et qui est toujours enjouée devient celle pour qui rien ne va, c'est un coup dur. Un coup qui fait réaliser que toute personne finit un jour ou l'autre par craquer. Être celle qui, même triste, cache ses problèmes pour faire sourire les gens. Être la personne pour qui ses propres joies et bonheur passera après celui des autres. Craquer quand l'on est convaincu que ça nous arrivera jamais et que même les blagues ne finissent plus à cacher ses sentiments. Un coup dur à surmonter. Le quelque peu de bonheur espérer ne vient parfois jamais et c'est lorsqu'il n'est plus possible de se cacher derrière ses sentiments que l'on apprend sur soi. Croire et espérer sont des mots qui ne mènent parfois nul part.



C'est dans les moments comme ceux-ci que l'on voit la force de l'être humain à se relever.


Surmonter les obstacles

Quand les grimpeurs observèrent de loin
les premières pentes de l’Everest,
tout était obstacle.
C’est en avançant qu’ils trouvèrent des passages.

Alain, Propos du 26 novembre 1921


mercredi 10 novembre 2010

NOUVEAUTÉ - LOGO SOUS LA PROTECTION DES DROITS D'AUTEUR





Mon logo officiel est dorénavant sous la protection des droits d'auteur autre que celui de mon site web. Voici le lien direct vers sa page de ma protection:
http://www.copyrightdepot.com/cd16/00049306.htm






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