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compteur live

jeudi 17 décembre 2009

Persévérance


Pourquoi la persévérance alors que c'est si facile de baisser les bras. La persévérance est un art que peu de gens ont la chance de raffiner . La persévérance est l'âme de toute chose.


L'on est souvent confronté dans la vie de tous les jours à un évènement devant lequel tout semble insurmontable. La vision de toute chose devient hyperbolique. Une barrière semble se dresser entre l'objectif à atteindre et le point où vous vous trouvez. Ne vous êtes jamais retrouvés devant une situation où le désespoir venant davantage une vision du réel ? Plus rien semblait être possible, une montagne se dressait devant soi. La seule et unique façon de s'en sortir est grâce à la persévérance.

Personne ne reste indifférent face à cette épreuve. Comme mentionné dans un numéro précédent, la dernière chose qui reste lorsqu'on a tout perdu, c'est l'espoir. Grâce à l'espoir et à la persévérance, tout est possible. Quand une route est remplie d'obstacle, il est permis de s'arrêter, de prendre son souffle mais pas d'abandonner. Quand le succès fuit et que tout semble perdu, il reste peu être malgré tout une graine d'espoir d'y arriver.
Une chose est certaine, il faut toujours faire chaque jour tout ce qu'on est capable pour ne pas reporter à plus tard et qu'un fardeau germe demain. Quand tout espoir semble disparaitre, il ne faut pas baisser les bras, il faut foncer à nouveau. Il n'y a rien à notre épreuve, si seulement l'on se donne la peine d'essayer...


C'est quand l'on a tout essayé qu'il ne faut surtout pas abandonner.

En vacance

Bonjour à tous,
Je ne vous oublies pas... je vais réécrire bientôt sur mon site. Ces derniers temps je suis extrêmement occupé.

Je serai de retour après les fêtes avec de nouvelles idées en tête pour des textes rafraichissant en ce temps de l'année.

À bientôt,
Gabriel

dimanche 1 novembre 2009

Espoir, une chose par laquelle nous carburons

L'être humain est une machine formidable; complexe mais très bien faite. Nous réfléchissons, et c'est ainsi que nous agissons; en se fiant à notre instinct ainsi qu'à ce que notre tête nous dicte. Mais une chose est certaine: l'espoir est l'unique chose pour laquelle l'être humain carbure.

Pourquoi agirions-nous si nous n'avions pas d'attente envers rien ? Irions-nous nous coucher si nous n'avions pas d'attente à ce que nous reprenions de l'énergie, irions-nous à l'épicerie si nous n'avions pas d'attente de manger la nourriture, prendrions-nous des médicaments si nous n'attendions pas que ces médicaments enlèvent la douleur ? Afin de rendre les exemples plus évidents, prenons des exemples plus simples. Embrasserions-nous quelqu'un sans avoir l'intention que ça aille plus loin par la suite, irions-nous à l'école sans avoir l'intention de décrocher un emploi qui nous intéresse, est-ce qu'on vivrait si nous n'avions pas espoir au lendemain ?

Puisque l'espérance est un sentiment qui porte à considérer ce que l'on désire comme réalisable, de confiance et de certitude, et que nous vivons dans un monde réel, cela implique que l'espoir est présent partout; omniprésent. Lorsque nous n'avons plus rien dans la vie, il y a qu'une seule chose qui nous sera toujours fidèle: l'espoir. C'est l'espoir qui fait vivre et qui redonne la chance à ceux croyant avoir tout perdu. Une situation est rarement ni même jamais sans espoir. Il faut savoir qu'en dernier recours en peu se fier à cette chance et on aura toujours quelque chose en nous qui nous dira "si seulement...".

Le moment le plus important dans la vie est la journée où l'on commence à croire en quelque chose. En croyant à quelque chose, en ayant un objectif, en soyant fier de tenter d'y parvenir, c'est alors que tout espoir réapparait et que des merveilles se passent. La personne qui va rêver l'impossible aura bien plus de chance d'arriver là où il le désire.

Le pire ennemi de l'espoir est le regret. Vous allez vous-mêmes le réaliser en vous posant la question suivante: Lorsque vous appréciez quelqu'un, vous voulez l'embrasser mais vous ne le faites pas, que se passe-t-il dans votre tête par la suite ? Vous le regrettez et vous vous dites "si seulement...". C'est grâce à l'espoir que toutes choses sont bâti.

Lorsque vous avez un rêve, qu'est-ce qui vous permet d'y rester accrocher? L'espoir est une mémoire qui désire et il faut savoir bien l'utiliser. L'espoir est une chose par laquelle l'être humain carbure et c'est pourquoi nous restons accrocher à nos rêves.
Je vous laisse sur ceci: Si seulement....


mercredi 28 octobre 2009

Site présentement en construction

Bonjour à tous,
Je tiens à vous informer que mon site est présentement en rénovation, comme vous l'avez sûrement remarqué.
Je suis en train de mettre le site dans une nouvelle résolution afin d'améliorer la lecture ainsi que sa capacité d'affichage.

Le tout devrait revenir dans l'ordre d'ici peu,
Gabriel

mardi 22 septembre 2009

Rien ne nous sépare


CORRIVEAU, Gabriel
Ma naissance - aujourd'hui



La mort est un phénomène que personne ne comprend. La mort est difficile et pourtant très naturelle. La mort frappe, anéantit, ramasse tout sur son passage; temps et les êtres chers. La mort est la fin; la fin d'un battement, la fin d'un dernier soupir, d'un dernier regard... Un regard tant craintif que satisfait. L'on peut voir dans ce regard une paix totale dans le coeur, heureux d'avoir vécu tant de choses et persuadé que le bon moment pour partir est venu. Le regard est rendu totalement différent, enivré par sa réussite et attristé de partir loin de ses proches. L'on peut ressentir tant de chose derrière un regard qu'on ne pourrait voir autrement. À cet instant, sur la bascule nous menant vers un autre monde, ce regard exprime tous les sentiments cachés derrière. Nous voyons à travers les yeux vitrés des images, des images qui ne peuvent être dites mais que l'on réussit à percevoir; principalement des souvenirs, mais aussi de l'amour, de la liberté et de l'espoir. Grâce à la mort, il est plus facile de concevoir l'expression disant qu'une image vaut mille mots. J'irais même à dire qu'un regard vaut mille mots. À travers l'expérience, l'on arrive à remarquer que le temps est facilement concevable lorsque la mort frappe un de nos proches. Tout semble s'écrouler, rien ne semble se poursuivre. Les minutes deviennent précieuses et les secondes encore plus. La vie devient une bascule qui pourrait chavirer à tout instant. Les secondes deviennent cruciales et le temps passé avec l'être cher devient réduit. Le sentiment lorsqu'on est confronté à la mort est indescriptible. Un sentiment venant chercher la moindre partie de notre corps allant jusqu'aux tripes. Tout notre être semble déchiré, une douleur attroce comparable à nulle autre émotion. Dire que cet être disparaitra à jamais de notre vie, qu'il sera totalement impossible d'échanger avec elle. La mort est difficile pour tant de personne: les gens en pleurent et celle à son lit de chevet aimerait tellement rester avec ceux qu'elle aime. En l'espace de quelques instants, il est réellement possible de voir la vie que la personne a mené durant son existence. Il est possible de voir les regrets, les réussites, et les contemplations durant sa vie.

Vous pensiez peut-être que j'ai vécu la mort, on la vit tous les jours. L'on côtoie la mort, nous la vivons, nous en parlons. La mort est plus un concept effrayant les personnes qui en parle. La mort est inévitable, et pourtant, parfois tant délivreur pour ceux souffrant d'une maladie, ou bien pour ceux souffrance de vieillesse tout simplement. Une phrase que j'ai lut disait qu'il était possible de lire sur une pière tombale: "j'ai été ce que vous êtes, vous deviendrez ce que je suis...". La vie est tant merveilleuse, mais parfois il faut savoir se laisser partir. La mort ne devrait pas être vu du mauvais côté, mais plutôt d'un côté que peu de gens entreprennent à l'égard de la mort: un nouveau commencement. Pour les optimistes, une phrase les inspirent: ce que la chenille appelle la mort, le papillon l'appelle renaissance. Il est possible de perdre une personne chère, mais tant que sa mémoire n'est pas effacée, elle restera en vie. Une phrase qui a inspiré ma propre vie questionne justement le côté de la mort: "Qu'est-ce qui fait ce que nous sommes; Les actes accomplies durant notre vie ou les souvenirs qu'on laisse après notre mort?" Tant que l'on se souviendra, l'on existera.

Voici une lettre trouvée dans la nécrologie de La Presse en 2008 qui m'a drôlement touché alors que je ne connaissais pas cette personne. Je vais garder l'anonyma de la personne et ne divulgerai pas ses informations privés. Voici je vous laisse sur ce qui suit:
«
TASSÉ, monsieur
année de naissance-année de décès

Lettre à vous tous


Bon d'abord, on enlève cette face de Carême et on sourit, mettons juste un peu. C'est mieux comme ça. Donc, "date de décès", je suis parti. Correction ici, avant de commencer: je ne suis pas parti, on est venu me chercher! Grosse différence. Qui? Aucune idée. Où? Sais vraiment pas ! Vous êtes-vous déjà levé un lendemain de veille en vous demandant où vous étiez ? Ça doit ressembler un peu à ça, sauf que là j'ai pas de réponse.

Parce que ça ne me tentait pas, mais vraiment pas de partir. Restait encore tant de choses à faire, à dire, à voir...
Je vous dois beaucoup.
Je vous ai emprunté plein de choses: votre sagesse...

Vous m'avez aidé à grandir... Je vous en remercie comme vous ne pouvez pas savoir. Les amis lointains et proches, les vieux et les nouveaux. Ceux des heures difficiles et ceux des temps heureux.
Vous allez me manquer, vous me manquez déjà. Ma peine est immense.

J'ose espérer que vous trouverez un petit racoin dans votre coeur pour vous garder un petit souvenir de moi. Vous ne sortirez jamais de mon coeur. Notre amitié demeure entière.

Aille, la vie continue: riez, fêtez, rappellez-vous nos bons coups. Laissez pas vieillir votre beau linge dans le garde-robe! Fêtez, même si c'est juste pour vous autres tout seuls. Vous trouverez bien une occasion.

On m'a peut-être battu, mais on ne m'a pas vaincu !

Finalement tout ce que j'aurai essayé d'être, c'est d'être un bon gars. Comme disait l'autre, et je vous laisse le soin de complèter: "Une fois c't'un gars comprends-tu..."

»


Tant que l'on se souviendra, l'on existera,
Gabriel

mercredi 9 septembre 2009

La permutabilité des choses

Qu'est-ce qui nous distingue d'une autre personne ? Qui sommes-nous entre deux personnes de la même race?
Un chien, qu'est-ce qui le distingue d'un autre? Vous me direz que par la race, par la couleur de son poil, par la couleur de ses yeux ou bien par la manière dont il marche. Évidemment que ce sont des facteurs permettant de différencier un individu d'un autre. Mais outre ces facteurs, si nous prenons deux chiens semblables, ayant la même couleur, la même forme ainsi que la même démarche, comment est-il possible de les différencier ?
À son tour, prenons deux humains semblables (des jumeaux monozygotes). Ils sont visiblement très semblable. Mais qu'est-ce qui les différencie réellement ? Allons approfondir ce sujet un peu plus en détail.
Si l'on se fit au principe que tout est formé à la base d'atome, jusque-là, tout est identique car un atome est un atome. Si l'on continu sur la même échelle, les atomes forment une molécule qui sont tous les mêmes d'un individu à un autre. Jusqu'ici, toujours pas possible de les différencier. La molécule forme des organites, qui est toujours à l'état de non-vivant. Par la suite, la cellule est créé par l'union de différents organites. Ici, nous rentrons dans l'état de vivant. La cellule elle-même crée par la suite un tissus qui formera l'organe. L'organe, peut-il être différent ? Si l'on se fit que lors de la reproduction, l'hormone masculine, le spermatozoïde, et l'hormone féminine, l'ovaire, entre en contact pour former un embryon. Dans le cas de jumeaux, l'oeuf, créé par l'union des deux hormones, se scinde en deux pour former deux embryons qui contiendront tous les deux le même bagage génétique. Ainsi, la constitution sera la-même. Continuons un peu dans le développement des constituants de base de la vie humaine. L'organe crée par la suite le système, qui est encore là le même. Maintenant vient le moment où l'humain peut se différencier: l'organisme. L'organisme est ce qui différencie l'être humain. Pourtant jusqu'à lors, les constituants étaient parfaitement semblables entre les deux humains jumeaux. Un cheveux, un poil, la tâche de naissance, un grain de beauté, ou autre, peuvent avoir poussés à une place différentes.

Cependant, est-il réellement possible de dire qu'un être humain est semblable même s'ils avaient parfaitement les mêmes bagages génétique et le même organisme ? Si l'on se fit au cerveau, là est toute la nuance démontrant la différence des gens. La personnalité ne se développe pas identiquement ainsi que les capacités intellectuelles. L'homme, avec un grand "h", ne pense pas de la même manière. Sa pensée est influencés par toute sorte de chose. Pourtant si l'on change le matériel génétique entre les deux jumeaux, il restera inchangé mais sa pensée pourtant n'est pas la même. Ainsi un être humain parfaitement identique n'aurait en aucun cas la même personnalité et une pensée différente.


dimanche 23 août 2009

L'éphémérité de toutes choses

Bien que toutes choses présentes soient définies dans l'espace, le temps et la matière, tout est éphémère. La pensée propre est éphémère, le bonheur, la paix, la joie, la vie, moi, vous, nous tous, sommes tous éphémères. Rien n'est sans qu'il soit pour autant quelque chose auparavant.
Nous portons rarement attention aux choses banales de la vie car nous prenons pour acquis que ce ne sont pas des choses éphémères. La rosée le matin, c'est une chose qui ne dure pas. Il disparait une fois le soleil sorti. Nous prenons pour acquis qu'elle va revenir le lendemain, et pourtant parfois ce n'est pas le cas. Imaginons que cette rosée était la dernière fois qu'on la voyait mais que nous nous en étions pas préoccupée par ignorance de l'éphémérité de cette chose. Peut-être que ça ne vous préoccupe pas non plus de savoir qu'il n'y aurait plus de rosée. Imaginez maintenant si l'oxygène, tant vital, devenait du jour au lendemain une matière rare, voire même inexistante. C'est pourtant ce qui se prépare avec le fameux problème des gas à effet de serres détéeriorant la qualité de notre oxygène. Regardons à long terme, cet oxygène nous paressant évidant, que nous prenons pour acquis, ne l'est plus. Il n'est plus. Il est une chose éphémère comme toutes choses.
Oui nous sommes présents dans l'espace et le temps, mais le problème est que le temps rend toutes choses éphémères. Le temps est ce qui fini toujours par nous enterrer, ce qui signifie que rien n'est fait pour durer. Nous sommes tous fugitifs de notre propre vie, mais le temps fini toujours par nous retrouver.

Il y a que très peu de choses qui soient éternelles. Il n'y a uniquement deux choses qui puissent être décrite comment éternelles: la pensée en elle-même ainsi que le temps. La pensée propre a une fin incessante. La pensée d'avoir faim est éphémère, la pensée d'un évènement à venir l'est aussi. À son contraire, la pensée en elle-même est perpétuelle. La pensée est infinie tel que plusieurs philosophes ont pu l'exprimer. Par contre, d'un autre point de vue, la pensée propre à un humain devient éphémère étant donné que l'être humain lui-même l'est. Puisque l'homme a une fin, ses pensées le deviennent aussi. Alors est-ce que la pensée en elle-même aussi devrait être considéré comme éphémère ? Oui il est vrai que nous puissions penser indéfiniment mais si l'homme cessait de vivre, il n'y aurait plus de penser. Alors certainement que la pensée devrait être aussi éphémère. D'un autre côté, la pensée crée l'homme. Si nous ne pensions pas, l'homme ne serait rien. Ainsi cela voudrait dire que la pensée est indépendante de l'être humain.
Laissons un peu de côté le sujet de la pensée et retrouvons l'autre élément éternel: l'âge. L'âge et le temps est sans contredit une chose perpétuelle. Si vieux qu'on soit, on est plus jeune qu'on ne le sera jamais. Peu importe le passage de l'homme sur Terre, l'âge continu d'être; le temps continu d'avancer. Tel que mentionner dans le haut de ma page web, " chaque seconde qui passe est une de plus dans son âge mais une de moins dans sa vie." La vie est éphémère alors que l'âge, lui, est éternel comme le temps.


Le temps est ce qui empêche les choses de nous arriver toutes en même temps. C'est simplement pour nous permettre d'être ici, aujourd'hui, profitant du moment présent. Hier est parti pour toujours, demain ne viendra peut-être jamais, mais ce qui est sûr, c'est que seul aujourd'hui est présent.

dimanche 16 août 2009

C'est officiel !

Eh voilà !
C'est n'est plus seulement officieux mais c'est rendu officiel ! Le cap du 20 000 mots a été atteint ! J'aurai réussit à écrire 20 000 mots en moins d'un an ! C'est magique, j'ai écrit 20 000 mots en 200 jours exactement lors de la création de mon site web !

Quand le porc est le modèle de l'homme

Nous avons souvent entendu parler que le coeur du porc serait semblable à celui de l'homme. L'est-il vraiment ? Selon de multiples études, le porc est l'animal ayant la physiologie digestive la plus proche de l'humain. Plusieurs meurent par manque de coeur suite à l'attente d'une transplantation de coeur. Pour ainsi dire, la xénotransplantation (greffe entre espèces), serait un moyen de sauver notre espèce...Partant uniquement du coeur du porc, nous pouvons même se confondre entre ce dernier et un coeur humain. De plus, après des études sur la condition physique des porcs, il a été déterminé qu'un porc pouvait courrir aussi vite qu'un sprinteur en ayant des fréquences cardiaques similaires. Ainsi, le coeur serait parfaitement adapté pour le corps humain. La question de l'éthique reste un problème. Est-il éthiquement correct de transplanter un organe d'un autre animal à l'être humain ?




D'autres part, le porc n'a pas uniquement le coeur de semblable à l'humain mais pratiquement tout; partant de la cage thoracique jusqu'aux organes tels que le coeur, les poumons, les reins, le foie, et le cerveau. Cette même étude a démontré que le cerveau du porc, d'autant plus développé que l'on pourrait prétendre, ressemble infiniment à celui de l'homme. Par de simples et anodines différences, ces deux cerveaux peuvent être comparés similairement. Le développement du porc et celui de l'homme serait ainsi semblable. Le porc est-il capable de penser, de rêver ? L'homme serait-il le même avec le cerveau porcin ? Cette étude démontre que le développement du cerveau peut être influencé par la nourriture reçu à l'âge natal. Entre deux porcs, l'un sevré après trois semaines et l'autre sevré après 12 semaines (l'âge normal), une différence majeure se fait ressentir. Tout d'abord, le porc sevré à trois semaines a démontré des tendances agressives. De plus, ce même porc a démontré des symptômes de stress élevé. Les deux porcs ont été introduit dans un bassin d'eau où ils devaient nager afin de trouver une plate-forme. Celui sevré à 12 semaines a nagé avec soin et a fini pour trouver la plate-forme alors que l'autre a paniqué. Dix minutes plus tard, ils ont été réintroduit chacun à son tour, où lui de 12 semaines s'est dirigé directement vers la plate-forme alors que l'autre a une autre fois paniqué.
Ainsi, nous voyons que l'influence du sevrage a eu une répercussion créant un stress chez le porc sevré très jeune, créant un post-stress, d'où l'importance des premières années dès la naissance...



Est-il possible de comparer le comportement porcin à celui de l'homme ? L'influence de notre entourage, de notre nourriture, du moment de chaque repas, des repas eux-mêmes, de l'heure du couché, et autres, détermineraient-ils notre personnalité plus tard ?
L'expression "se faire du sang de cochon" représente peut-être notre inquiétude face au fait que le porc est le modèle de l'homme...


samedi 4 juillet 2009

Objectif de base quasiment atteint !

Je suis heureux de dire que mon objectif que je m'étais donné à la base est presque atteint. Je m'étais donné comme objectif d'atteindre 20 000 mots sur mon site web en texte. Il ne me reste plus beaucoup de mot à écrire et mon objectif sera fait. D'ici bientôt, je devrais avoir atteint cet objectif !

jeudi 25 juin 2009

La réalité telle qu'on la voit ou la réalité telle qu'elle est ?

La réalité est-elle tel qu'on la voit ou bien la réalité est-elle différente de ce qu'on perçoit ? La réalité est tout d'abord le caractère de ce qui est réel, de ce qui existe effectivement, ce qui est contraire à l'imaginé, le rêve, le fictif. Par contre, la question n'est pas ce qu'est la réalité, mais bel et bien ce qu'est le réel. Le réel est ce qui existe ou a existé véritablement, bien tel que dit, authentique et véritable. Le problème est là: si l'on veut pouvoir décrire la réalité, il faut tout d'abord savoir ce qui est réel.

Une pomme, est-ce réel ? Un immeuble, est-ce réel ? L'être humain, est-ce réel ? Un mort, pour sa part, est-il réel ? La matière, en tant que telle, est-elle réelle ? Ainsi, l'âme, le rêve, le paradis sont-ils réels? Le rêve, lui, est-il réel malgré que certains d'entre eux semblent si réel qu'on se croit dans la réalité ? Certains sont prémonitoires et d'autres relatent le passé, cela voudrait-il dire qu'ils sont réels puisqu'ils ont des éléments de réels ?

Comme l'on peut le voir, il est difficile de définir le réel puisque personne ne sait ce qu'est le réel. Sommes-nous tous en train d'halluciner ou bien y a-t-il réellement quelque chose en face de nous ? L'avenir... l'avenir est-il réel ? Lorsque j'ai débuté à écrire ce texte, les mots que j'écris en ce moment étaient pas encore pensés, donc pas réels. Pourtant, en ce moment, ces mots sont réels puisqu'ils ont été pensées puis écrits. Ainsi, l'avenir est-il réel ou bien uniquement imaginé, à venir ? Cela voudrait dire que plusieurs choses sont réels et d'autres non, pourtant, pour qu'une chose existe, elle doit être réelle. Là se trouve un problème difficile à résoudre.

Si l'on se fit au fait que pour qu'une chose existe réellement, elle doit être vu et non pensé, alors on se met face à un autre problème: qu'est-ce qu'une chose vue ? Si l'on prend l'être humain, prenons moi par exemple, je suis là en ce moment à écrit. Déjà entre cette phrase et la dernière écrite, j'ai changé; je ne suis déjà plus la même personne. Nous changeons à tout instant. Nos yeux sont humidifiés par des larmes différentes, notre air respiré n'est pas la même, de la peau morte est tombé et de nouvelle à remplacé celle tombée, un cheveux vient de tomber, ect. De plus, d'heure en heure, de minute en minute, de seconde en seconde, nous sommes en train d'évoluer; nous vieillissons. Alors un instant quelque chose peut exister et l'autre instant d'après disparaitre. Cela veut dire que tout peut être rien dans l'intervalle d'une fraction de seconde.

Pour revenir un peu au vif du sujet, si nous changeons à tout instant, cela veut dire que notre perception altère la réalité des choses. Si l'on dit: "je vois quelque chose, donc elle existe", cela est faut puisque rien n'Est sans Être. Je m'explique: ce n'est pas parce que je pense être ici, que je le suis réellement. Une chose n'Est pas uniquement parce qu'on croit qu'elle Est et qu'on la voit.

Pour un aveugle, qu'est-ce que le réel ? Elle ne va sûrement pas dire qu'une chose est réelle parce qu'elle la voit, puisqu'elle ne voit absolument rien. Elle imagine tout ce qu'elle touche, elle donne vie aux objets en les touchants, elle sait qu'une pomme c'est rond, qu'un humain à 2 jambes et 2 bras. Pour l'aveugle, la vie réelle s'imagine tel un rêve. Son rêve est réel.

Ainsi, le réel dépend de notre perception de la vie. Si nous comparons un album photo d'un immeugle à un plan d'architecture, déjà là, il y a une différence dans la perception. Le plan d'architecture est plus proche de l'idée abstraite de la bâtisse que l'album photo. Le point de vue de la photo déforme la réalité. Je m'explique: le plan d'architecture est la base de la bâtisse, la bâtisse en elle-même. Le plan, détaillé va montrer où sont les poutres, les différents murs, les angles des murs, la hauteur des fenêtres, etc. alors que la photo va uniquement montrer un ensemble global sans information sur la bâtisse. Une personne regardant uniquement cette photo va décrire la pièce, tout ce qu'elle voit. Ainsi, elle va dire que ce qu'elle voit existe. Pourtant, sur les plans d'architectures, il y a des choses derrières ces murs. Nous pouvons en conclure que derrière chaque perception, se cache une réalité différente.

mardi 9 juin 2009

La réussite n'est qu'un échec refoulé

La réussite n'est qu'un échec refoulé car c'est grâce à l'erreur qu'on réussit. On apprends pas à marcher sans avoir tombé préalablement, on ne fait pas du vélo sans avoir tombé au début, on doit tomber en amour pour aimer, on ne peut avoir son équilibre sans avoir déjà perdu l'équilibre, etc... Simon Lachance : "c'est par l'échec que la réussite existe, sans celle-ci l'echec n'aurait plus lieu d'être ni la réussite tout comme la lumiere, qui, sans la noirceur ne peut être défini."

Donc, la réussite est cachée derrière les épreuves vécues. Et pour réussir, il y a toujours un échec dans le chemin de cette réussite.
Un exemple plus concret: pour réussir à démontrer une équation ou une formule, il y a eu de nombreux calculs d'abord et avant tout pour prouver cette formule. C'est les erreurs qui mènent à la formule.

Ainsi, le mot échec provient du jeu d'échecs, et à ce jeu, lorsqu'on dit "échec" ou "échec et mat", cela veut dire que nous sommes près de la victoire. Donc d'un côté, échec est pessimiste, mais de l'autre, un échec c'est optimiste, signe de victoire, de réussite.

dimanche 31 mai 2009

L'être humain comme sujet psychologique du désir

Voici un travail de fin de session que j'ai faite où la question était "Qu'est-ce que le rêve de l'être humain". Une fois de plus, je ne mettrai pas l'intégrale du document pour vous épargner les détails moins sympathiques. Ce travail m'a mérité une bonne note alors j'en suis assez fier.
Ce texte est de ma pure tête alors observez la richesse du texte :)


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«Le rêve ne pense ni ne calcule ; d'une manière générale il ne juge pas : il se contente de transformer.» - Sigmund Freud


Découvrir est une nécessité; vivre n’en ait pas une. Nous sommes amenés à chercher dans le monde de la fiction ce que nous sommes obligés de refuser dans la vie réelle. Freud dit : « Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent : on n'est pas capable non plus de les chasser ». Ces pensées surviennent de l’inconscience où la connaissance et son sens échappe complètement à la conscience réfléchie. Cette inconscience est tout ce qui peut échapper à la conscience quand l’on cherche à le saisir et à y appliquer son attention. Tant et aussi longtemps que l’inconscient existera, ces pensées auront toujours place à s’étendent puisque «l’inconscient s’exprime à l’infinitif» -Sigmund Freud. Ces pensées se retrouvent dans ce que l’on appelle : les rêves.

Le rêve a toujours exercé une fascination chez l’être humain à cause de deux liens qu’il crée : un rapport avec le réel et le rapport avec la conscience, par contre, il reste toujours de nombreux mystères à son sujet. " L'interprétation des rêves est la voie royale qui mène à la connaissance de l'inconscient dans la vie psychique ", écrit Freud dans La Science des Rêves. Pourtant, qu’est-ce que le rêve de l’être humain? Est-ce uniquement les êtres humains qui rêvent? D’où proviennent-ils? Là est le grand mystère que Freud tente d’expliquer et qui reste toujours aussi fascinant et énigmatique.

Nous voulons savoir si le rêve est susceptible d’interprétation et si le contenu du rêve présente un certain «sens». Il y a plusieurs tendances voulant expliquer ce qu’est le rêve : la première étant que le rêve provient d’une origine surnaturelle, la deuxième serait que le rêve provient des excitations psychiques, la troisième serait que c’est un phénomène provoqué par les excitations corporelles et sensorielles, et le quatrième, est selon le sentiment populaire, que le rêve a un sens où renferme une prédiction. La plus juste conception du rêve ne provient pas de chez le médecin mais chez ceux où le rêve restent un mystère. L’angoisse, l’obsession sont étrangères à une conscience normale, c’est ainsi la même chose pour le rêve avec sa conscience à l’état de veille. L’origine du rêve plonge dans l’inconscient. Freud fait la description de l’inconscient dans son écrit Notre attitude à l’égard de la mort : «Ce que nous appelons notre « inconscient », c'est-à-dire les couches les plus profondes de notre âme, celles qui se composent d'instincts, ne connaît, en général, rien de négatif et ignore la négation.» Il est important de ne pas confondre l’inconscient du subconscient qui sont des concepts totalement différents. L’inconscient est ce qui échappe complètement à la conscience réfléchie même quand le sujet cherche à le saisir et à y appliquer son attention. Tandis que le subconscient est ce qui échappe à la conscience actuelle mais est susceptible de devenir conscient si l'esprit y applique son attention.

Le rêve exprime un souhait, un désir inconscient dont il assure immédiatement la réalisation. Freud décrit le rêve comme étant «des représentations de désirs refoulés dans l’inconscient par le Surmoi». Il dit de plus qu’il est possible de concevoir le rêve comme un substitut de tout le contenu sentimental et intellectuel des associations d’idées». Le rêve oppose deux types de contenus : le contenu manifeste, étant ce qu’on se souvient au réveil, et le contenu latent, les désirs inconscients non apparents.

Le travail du rêve est le processus de transformation du rêve latent en rêve manifeste et le travail d’analyse est le processus inverse. Le travail du rêve est celui qui explique le mieux ce qu’est l’inconscient et le matériel psychique. Suite au travail du rêve, il existe trois catégories de rêvent qui sont créées : les rêvent clairs et raisonnables où ils semblent venir du monde conscient, les rêves uniquement raisonnables, et les rêves incohérents où rien n’est précis et c’est pourquoi c’est la forme la plus fréquente. Les rêves clairs et raisonnables nous intéressent peu puisqu’ils ne frappent pas l’imagination.

Le travail du rêve consiste à faire une association entre le contenu du rêve et l’idée latente. La plus grande parti du travail du rêve est de faire des associations habiles mais qui semblent parfois très poussées. On explique le travail du rêve avec la condensation et le déplacement, qui sont les deux plus grands travails du rêve. La condensation s’explique par le fait que plusieurs pulsions, différentes représentations d’une chose, peuvent être condensées dans une seule représentation. Les idées latentes sont toujours plus nombreuses que les idées du contenu manifeste, c’est ainsi pourquoi le rêve les condense en une seule représentation. Le déplacement, pour sa part, est le déplacement des pulsions, des valeurs. Ce qui, dans le rêve, semble insignifiant peut avoir une répercussion intense dans le monde conscient et vice versa. Comme Freud a dit : «Le rêve ne pense ni ne calcule ; d'une manière générale il ne juge pas : il se contente de transformer.» De plus, il existe aussi la symbolisation qui consiste à remplacer les objets, personnes et situations par d’autres éléments.

Toutes les fois que le rêve manifeste semble troublé, incompréhensible, incomplet, alors il faut penser que c’est l’intervention de la censure du rêve. À chaque fois qu’on se retrouve en présence d’un élément faible, douteux, alors que d’autres ont laissé des images nets, ainsi on doit admettre que le rêve a subi l’action de la censure. La censure, par contre, se manifeste rarement d’une façon si ouverte. Elle s’exerce plus souvent en utilisant des moyens pour diminuer la force des éléments, des moyens pour résumé ce qu’il veut dire et ainsi que des allusions à la pensée véritable. La censure est la principale cause du déplacement du rêve. Il existe deux moyens de censure couramment utilisés par la censure du rêve : la pensée réprimée, consistant à ne pas dire une pensée, et le refoulement, consistant à un processus qui vise à mettre à l’écart les pulsions qui ne peuvent être acceptées par la conscience.

En effet, un rêve est une production involontaire d'actions, de désirs qui se déplacent sous une forme qui ne dérange pas, souvent pendant le sommeil. Un rêve est une manière de vivre des actions, ou bien de revivre une action (souvent arrivée dans la journée même). Par exemple, lorsqu'on écoute un film d'horreur quand on est petit, souvent il arrive que nous fassions des cauchemars. La raison ? Un léger traumatisme au niveau du subconscient qui fait qu'on rêve au film et qu'on en fait un cauchemar. Le cœur se met à battre, les pupilles se dilatent, les glandes sudoripares excrètent davantage et souvent on se réveille suite à cela.

Le rêve est décrit souvent comme arrivant lorsque nous avons les yeux fermés et que nous dormons. Les rêves est une conception unique de notre cerveau en lien avec ce que nous vivons. Il y a même des manières d'analyser les rêves et tenter de comprendre une personne. Le rêve est une expérience sensible ne passant par les organes des sens. Dans le rêve, il y a aussi les mêmes actions que dans la vie éveillée. Il y a aussi de la rationalité (un ordre de la raison), de l'irrationalité, des couleurs, des sens, les mêmes humains. Les rêves sont donc une suite successive d'images.

Se poser la question de la nature des rêves revient à se poser la question de la nature de la conscience éveillée. Rien ne nous garanti que le rêve que nous vivons est bel et bien un rêve. Lors du réveille, il serait possible que nous nous soyons toujours en train de rêver. Ne serait-ce pas possible de rêver qu'on est en train de se réveiller dans notre lit ? Alors, la vie éveillé pourrait, elle aussi, être un rêve. Ainsi, se questionner sur la nature des rêves reste un phénomène complexe.

Dissertation finale - L'être humain


Comme Kant a dit: «Ce qui se passe dans notre tête devrait appartenir à tout le monde».
Alors voici ce qui se passe dans ma tête lorsqu'on me demande d'expliquer si le pouvoir de la pensée humaine provient d'une entité spirituelle, une âme immatérielle séparable du corps, ou bien que l'être humain n'est tout simplement un animal plus complexe que les autres. (Ce n'est pas le texte intégrale puisque je ne me souviens pas entièrement du texte, mais il devrait être le plus proches de la copie complète)


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Découvrir est une nécessité; vivre n’en ait pas une. Nous sommes amenés à chercher dans le monde de la fiction ce que nous sommes obligés de refuser dans la vie réelle. Freud dit : « Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent : on n'est pas capable non plus de les chasser ». Par la pensée, l'être humain est capable de poser des questions, d'y trouver des réponses rationnelles, de désirer, de mémoriser et de se souvenir, d'imaginer et d'inventer, etc. Reste que, un enjeu toujours aussi fascinant sur la dimention fondamentale de la pensée humaine reste énigmatique. L'être humain est-il d'abord et avant tout une entité spirituelle ou simplement un animal plus complexe que les autres ? Il est sûrement le cas que l'âme serait à l'origine du pouvoir humain de penser et connaître.

Une âme spirituelle, séparable du corps, pourrait être à l'origine du pouvoir de penser de l'être humain puisque ce dernier se compose de deux choses: l'être pensant et l'être corporel. Descartes dit dans la troisième Médiation qu'il y a des causes extérieures créant les pensées. Il se dit qu'il est imparfait et fini puisqu'il se questionne sur les origines de la pensée. Pour tout voir, tout connaître, il faudrait être éternel. Ainsi, ce qu'on découvre c'est quelque chose qui était déjà en Dieu. Dieu est universelle et est la cause de tout: il crée l'être corporel, par la suite, crée les idées de choses corporelles, et finalement, avec les idées de perfection, il crée l'être pensant. Descartes dit : « Je suis une chose qui pense, c'est-à-dire qui doute, qui affirme, qui nie, qui connaît peu de choses, qui en ignore beaucoup, qui aime, qui hait, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent». Ainsi, pour lui, la cause des pensées de l'être humain provient de l'extérieur.

Avec la citation précédente de Freud, l'origine de la pensée humaine reste un mystère. Selon lui, ces pensées surviennent de l’inconscience où la connaissance et son sens échappe complètement à la conscience réfléchie. Cette inconscience est tout ce qui peut échapper à la conscience quand l’on cherche à le saisir et à y appliquer son attention. Tant et aussi longtemps que l’inconscient existera, ces pensées auront toujours place à s’étendent puisque «l’inconscient s’exprime à l’infinitif» -Sigmund Freud. L’origine du rêve plonge dans l’inconscient. Freud fait la description de l’inconscient dans son écrit Notre attitude à l’égard de la mort : «Ce que nous appelons notre « inconscient », c'est-à-dire les couches les plus profondes de notre âme, celles qui se composent d'instincts, ne connaît, en général, rien de négatif et ignore la négation.» Les influences extérieures finissent par s'imposer de l'intérieur. C'est donc par les pulsions que les gens pensent. Freud dit «On apprend plus sur quelqu'un grâce aux lapsus qu'en prenant au sérieux ce qu'il dit». Afin de comparer l'origine de la pensée de Descartes et de Freud, comparons leur Dieu respectif. Pour Descartes, Dieu est universelle créant l'être pensant alors que Freud dit que le vrai Dieu est l'inconscient en chacun. Ainsi, l'inconscient est à l'origine de tout. Pour les deux philosophes, Dieu est la source de la pensée humaine provenant de l'extérieur de l'être pensant.

Ainsi avec ces deux philosophes, pour n'en nommer que deux, l'origine de pouvoir de pensée et de connaître provient de l'extérieur. Par contre, selon plusieurs, on ne peut être sûr de rien, personne peut définir l'être humain. Comme dit dans le Discours dans le manifeste du Parti communiste : «Il y a seulement des possibilités». Selon Jean-Paul Sartre, l'âme n'est pas à l'origine de la pensée humaine. L'être humain serait tel qu'il veut, conçoit, mais aussi tel qu'il veut, tel qu'il se conçoit. Sartre a écrit dans L'existentialisme est un humanisme : «[N]ous voulons dire que l'homme existe d'abord, c'est-à-dire que l'homme est d'abord ce qui se jette vers un avenir, et ce qui est conscient de se projeter dans l'avenir». Sartre explique la pensée comme étant un tout avec l'être humain; l'être pensant et l'être corporel sont unis, comme explique la citation «L'existentialisme ne pensera pas non plus que l'homme peut trouver un secours dans un signe donné, sur terre, qui l'orientera: car il pense que l'homme déchiffre lui-même le signe comme il lui plaît. Ponge a dit, dans un très bel article: "L'homme est l'avenir de l'homme" ». Le point de départ de l'existentialiste est subjectif de l'individu puiqu'il défini l'humain par l'action. L'existentialisme déclare que même si Dieu existait ça ne changerait rien; il faut que l'humain se retrouve lui-même et se persuage que rien ne peut le sauver.


La pensée ne peut être source que de l'extérieur puisque la pensée est infinie alors que l'être humain est fini, limité.
Tout confirme que l'être humain, par la pensée est capable de poser des questions et d'y trouver des réponses rationnelles, de désirer, de mémoriser et de se souvenir, d'imaginer et d'inventer, grâce à l'âme; une âme immatérielle. Peu importe la chose ou l'être à l'origine de la pensée, cette origine provient de l'extérieur, une entitié spirituelle et non simplement comme un animal un peu plus complexe que les autres.

samedi 23 mai 2009

L'amour dure trois ans

Voici un texte que j'ai écrit pour un projet en secondaire 5 sur un roman:

L'amour dure trois ans


L'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas. L'amour naît d'un sourire, vit d'un baiser et merut d'une larme. 

L'extérieur attire le premier regard, l'intérieur, lui, attire tous les autres. Un regard de tendresse dans les yeux de deux personnes qui s'aiment est la plus belle des choses en amour. «je la regardais pendant des heures. Parfois elle s'en rendait compte et me le reprochait: "arrête de m'observer, s'écriait-elle, tu me gênes". Mais la regarder vivre était devenu mon spectable préféré». L'amour résulte des premiers regards. Le regard dans les yeux de l'autre permet de lire bien des choses qu'on ne pourrait lire ailleurs.

Aimes qui tu es, et la vie t'aimeras. «À défaut d'être au-dessus de tout le monde, on veut être comme tout le monde par peur d'petre en dessous et c'est le meilleure moyen de ruiner un amour véritable. Pour pouvoir aimer quelqu'un d'autre, il faut d'abord s'aimer soi-même». Ce que nous sommes ne doit pas déprendre de ce que les autres sont. Notre personnalité est une chose tellement unique. Il faut avoir notre popre personnalité et chercher le meilleur chez les autres sans toutefois se perdre. En étant soi-même et en ne cherchant pas à faire comme les autres, on devient unique et les autres voudront peut-être être comme nous. En amour, on se fait aimer pour ce qu'on est, pas pour ce que les autres sont.

Fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve. «Il faut se décider: ou bien on vit avec quelqu'un, ou bien on le désir. On ne peut pas désirer ce qu'on a, c'est contre la nature. Pourquoi ne peux-tu pas profiter du moment présent au lieu de t'angoisser sur notre futur?». Le désir est un rêve alors que le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. Pourquoi perdre sont temps à penser au futur alors que le présent est si beau. Pour chaque minute qu'on perd à penser à ce qu'on pourrait faire, on perd soixante secondes du moment présent.

Une histoire se forge d'aventures. Une vrai et longues histoire est formée de hauts et de bas qui ont toujours tété surmontés. Cette histoire est donc à l'image qu'on a voulu lui donner. «Le plus dure ne serait pas de quitter la personne qu'on aime mais de renoncer à la beauté de notre histoire». Ce souvenir de tout ce qu'on a passer ensemble, tous les bons moments passés, est si difficile à laisser derrière sans ne jamais plus y penser.

On n'apprend pas à courir avant de marcher. Il y a un ordre dans la vie auquel on doit suivre. Avant d'avoir réussit à marcher, on a tombé plusieurs fois. «Surtout, j'ai appris que pour être heureux, il faut avoir été très malheureux. Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide». Pour forger le bonheur, on doit avoir vécu de la douleur pour apprécier le bonheur à sa juste valeur.

L'avenir est un présent à venir où l'on devra comme maintenant saisir l'instant qui passe. Souvent, le temps nous manque et on voudrait en avoir plus pour pouvoir faire tout ce qu'on a à faire. On se dit qu'on a pas le temps de le faire alors on le fera plus tard. Mais pourquoi remettre à demain ce qu'on peut faire aujourd'hui? Il faut donc savoir remettre à plus tard pour avoir le temps d'accomplir aujourd'hui ce qu'on aurait dût faire hier.

vendredi 8 mai 2009

Pardonnez-moi.... cela reviendra

Bonjour à tous, malheureusement, cest temps-ci, je suis dans une période d'examen de fin de session à l'école, et vous comprendrez sûrement que je n'ai pas vraiment le temps d'écrire. Voilà la cause principale du ralentissement de mes écrits.
Par contre, je suis dans l'écriture d'un sujet où j'ai dépassé, à ce texte lui seul, 6000 mots.
Il sera diffusé sur le site bientôt après la remise de ce projet de fin de session pour empêcher le plagiat.

Merci,
votre philosophe Gabriel !

dimanche 3 mai 2009

Le refoulement, MOI

Voici ce qui me décrit totalement. Je ne connais pas l'auteur de ce quiz, mais pourtant, c'est totalement véridique.


Gabriel a participé au quiz "comment se defend ton inconscient?" et le résultat du quiz est Il utilise le refoulement....
Il s'agit de refouler une émotion désagréable, ne pas l'exprimer, et parfois en venir à être coupé d'un type d'émotion ou de souvenir. Lorsqu'une représentation, un fantasme ou une idée est inacceptable pour la conscience (car source de déplaisir ou d'angoisse par exemple), elle se voit refoulée dans l'inconscient. Le refoulement est donc un processus qui vise à mettre à l'écart des pulsions qui ne peuvent être acceptées, c'est à dire tolérées par la structure consciente. Ainsi, un refoulement trop actif et trop envahissant amène le sujet à une confrontation parfois violente avec les éléments refoulés, le jour où, suite à un traumatisme, un choc ou une situation réactivant des éléments du passé, le refoulé explose, et arrive d'un coup à la conscience. Le refoulement est un mécanisme de défense très fréquent.

jeudi 30 avril 2009

Droit d'auteur

Le site est maintenant sous la protection des droits d'auteur
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lundi 27 avril 2009

Nouveauté bientôt à l'affiche !

Bientôt des nouveautés sur le site... Des nouveautés de tout genre !

lundi 20 avril 2009

Nuages, qu'une histoire de gouttes

Qu'est-ce qu'un nuage ? Ne vous êtes jamais demandé qu'est-ce qu'un nuage en le regardant ? Vous n'avez jamais lever la tête pour regarder le ciel à contempler des nuages ?
Si l'on porte notre regard sur ce qui est dans le ciel, il est difficile de concevoir que c'est vraiment de l'eau. Comment que de l'eau dans le ciel fait pour ne pas tomber alors que sa densité est plus grande que l'air. Pourtant, lorsqu'on regarde le ciel, nous percevons des nuages à différentes hauteurs et de différentes formes. Essayons de nous percevoir ces nuages dans notre tête. D'imaginer que des gouttelettes d'eau s'y trouvent. Pourquoi alors lorsqu'on passe avec un avion à travers l'un d'eux, l'avion ne devient pas mouillé ? Nous pouvons voir au travers de ceux-ci et ce n'est pas tangible. De plus, Qu'est-ce qui fait cette couleur blanchâtre des nuages si ce sont des goutelettes d'eau (naturellement transparentes)? On les voit un jour au dessus de nos têtes, et le vent les tassent jusqu'à d'autres horizons. Peut-être que le petit nuage que l'on observait va se retrouver 200km plus loin, voire même plus. Que peut-être que la petite goutte va se voir nourrir une plante qui attendait que la pluie tombe. Que cette même goutte se retrouve par la suite à nouveau dans la terre et dérive vers un petit ruisseau. Que ce ruisseau coule dans une rivière qui se déverse dans l'océan et que la goutte, rendu à cet endroit, n'attende seulement de la chaleur du soleil pour se voir remonter où toute son histoire à débuté pour recommencer son cycle perpétuel...

lundi 13 avril 2009

Nous ne sommes rien, soyons tout

Qui sommes-nous ? Sommes-nous la plus grande créature qui existe ? Devons-nous avoir peur de quelque chose ?
Si l'on regarde sur la Terre, l'être humain est le plus grand primate pouvant chasser et règner sur le monde animal. Il peut être le prédateur de toutes espèces. Une fourmis face à lui est minusculement petit. La fourmis ne voit peut-être même pas qui nous sommes. Il ne voit qu'une petite partie de l'être humain et voit uniquement quelque chose venant de lui bloquer le chemin. De notre part, nous sommes peut-être ainsi. Il se peut probablement qu'un être plus grand que nous soit présent alors que nous ne le voyons pas entièrement et que nous ne nous sommes pas posé de question à son sujet. Si l'on se reflète à travers la Terre elle-même. Nous, notre personnalité; moi, qu'est-ce ? Présentement, je sais que je suis grand dans le monde qui m'entoure. Mais si je me transpose à la grandeur de la planète, qui suis-je ? Je suis minuscule, je ne suis rien. Nous sommes à la fois tout et rien. Maintenant, si déjà à l'échelle planétaire je suis rien, je suis quoi au niveau de l'univers ? Suis-je quelque chose dans l'univers à part un petit point ? Ai-je un but, suis-je tout simplement ? Alors si nous ne sommes rien au niveau de l'univers, est-il possible d'être tout à un plus petit niveau ? Suis-je tout pour la pauvre fourmis ? En échappant un morceau de pain, je lui donne de la nourriture sans le vouloir, en marchant, j'écrase sa famille. Ainsi donc, serais-je un tout pour elle. Ce qui détermine sa vie ? Je suis rien et à la fois tout. Serais-je capable un jour de me percevoir à travers l'univers en étant autre qu'un simple et unique point ? Suis-je rien ou suis-je un tout ?

mercredi 8 avril 2009

Aimer comme dans j'aime

J'aime qu'on aime comme j'aime qu'on m'aime;
J'aime quand j'aime comme j'aime qu'on m'aime.

T'aimer sans te connaître c'est possible, mais te connaître sans t'aimer me serait impossible. Aimer, un grand mot et facile à ressentir, mais le plus difficile c'est de se faire aimer par la personne qu'on aime. Aimer, c'est découvrir qu'on a besoin des autres pour devenir soi-même. Pourtant, aimer c'est aussi aimer notre propre personnalité.
Si l'on dit que l'amour rend aveugle, alors pouquoi accordons-nous autant d'importance à l'apparence ?

C'est avec ce sentiment qu'on apprends les rudesses de la vie. Par exemple, on ne peut apprendre à se relever avant d'être tombé en bicyclette. C'est pareil avec l'amour; on ne peut apprendre à se relever avant d'être tombé en amour. Celui qui n'a jamais appris ce qu'est l'amour, n'a donc jamais connu ce qu'est la vrai peine.


Maintenant que j'aime la vie est belle et c'est maintenant que je sais que je vis.
J'aime les gens qui vont aimer pleinement et de tout coeur. J'aime les gens qui vont aimer la vie dans toute son intégrité. J'aime les gens qui vont m'apprécier à ma juste valeur. J'aime d'aimer les gens qui m'aime. J'aime !

lundi 6 avril 2009

Dissertation 1

Voici une dissertation que j'ai fait me méritant un maigre 65% comme note. Il manquait quelques informations, entre autre le concept du Dieu.

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La création de la vie a toujours été un sujet débattu. Avant même d'avoir compris la raison de notre existence, nous nous sommes questionnés au sujet de la vie. Résultons-nous des actes accomplies durant notre vie ou sommes-nous le résultats des souvenirs qu'on laisse après notre mort? Cela signifie que si c'est les actes accomplies durant notre vie qui fait ce que nous sommes et pensons, alors Marx avait raison, et si c'est les souvenirs que nous laissons, alors c'est Descartes qui avait raison.

Tout d'abord, une représentation est une image, une figure, mis devant nos yeux ou devant l'esprit de quelqu'un. Marx est en opposition avec Descartes car ils sont respectivement matérialiste empirique et idéaliste rationaliste. Ils n’ont pas la même représentation de l’être humain. Marx présente la conscience de l’homme comme étant le résultat de la vie. La conscience est une faculté qu’a l’homme de connaître sa propre réalité et de la juger. Pour Marx, cette conscience est représentée comme un édifice où la vie est la fondation et les étages, la conscience. Pour que l’édifice soit solide et bien bâti, il faut que la fondation soit bien faite. Ainsi, la conscience est bâtie grâce aux moyens de production de l’homme, grâce aux expériences vécues. Si nous prenons, par exemple, une personne se questionnant sur son existence. Comment peux-t-elle faire pour savoir qui elle est ? Si nous positionnons cette personne devant un miroir, elle va maintenant avoir une idée de sa représentation. Cela pour dire que c’est grâce à notre existence que nous créons notre propre représentation, nos propres idées. Puisque la conscience est la faculté de connaître sa propre réalité, Marx dit donc que nous sommes influencés par le monde extérieur et que durant notre vie, notre conscience change. Si nous reprenons l’exemple du miroir, la personne, ne s’ayant jamais vu dans un miroir, croyait avoir les yeux bleus puis se voit par la suite dans le miroir et a les yeux bruns, cela veut donc dire qu’elle va avoir une nouvelle représentation d’elle-même. Pourtant ses yeux n’ont pas changés de couleur entre temps. Ainsi donc, voilà pourquoi Marx dit que la conscience est le résultat de la vie et qu’elle est déterminée par nos expériences.

De son côté, Descartes présente la conscience de l’homme comme étant le déterminant de la vie. La conscience pour Descartes est un triangle inversé avec la thèse de Marx, c’est-à-dire que la vie n’est pas au sommet du triangle d’où tout découle, mais bien la conscience au sommet. Puisque Descartes est un idéaliste, ce qui existe ne provient pas de l’expérience mais plutôt par les idées. La fameuse phrase de Descartes « Je pense, donc je suis » décrit très bien son idée. Pour Descartes, si on pense à quelque chose, c’est que cette chose existe et que penser c’est exister ; alors nous avons la certitude d’exister. Ainsi, Descartes utilise le doute systématique afin de trouver la certitude. Si penser permet d’être, alors c’est le monde des idées qui détermine la vie. Ce n’est donc pas les expériences du monde sensible qui peut déterminer la conscience puisque c’est les idées qui font que le monde sensible existe. Étant un rationaliste, Descartes soutient que tout ce qui existe a sa raison d’être, et que toute connaissance certaine vient de la raison. Ainsi donc, Descartes explique la vie grâce au fait que la conscience crée le monde sensible.

Marx et Descartes sont en désaccord tout simplement puisqu’ils utilisent deux thèses et pratiquent deux doctrines différentes. L’un décrit le monde avec l’expérience et l’autre avec les idées. L’empirisme est l’opposition au rationaliste. Nous avons tous une réalité et une représentation peu importe si nous sommes empiristes ou rationalistes. Nous résultons autant des actes accomplies durant notre vie que par les souvenirs que nous laissons.

mardi 31 mars 2009

Parfois l'on espère le moment qui ne viendra peut-être jamais. Il suffit qu'à y croire...

Voici une conversation intégrale eu entre 3 personnes sur le sujet :
"Parfois l'on espère le moment qui ne viendra peut-être jamais. Il suffit qu'à y croire..."


Mélanie Radermaker, à 18:55 le 31 mars
Ahh t'as tlm raison mais croire a quel point??
Gabriel Corriveau, à 18:57 le 31 mars
il faut croire jusqu'à ne plus pouvoir. Quand l'on espère vraiment quelque chose, il n'y a pas de limite à l'espérance.
Marc-André Pelletier, à 18:59 le 31 mars
oui mais la réalité peut brusquement nous rammener sur terre
Mélanie Radermaker, à 19:01 le 31 mars
Ehh oui c'est justement ce à quoi je pensais!!!
Gabriel Corriveau, à 19:03 le 31 mars
Espérer c'est croire et croire à quelque chose qui est important pour nous n'a pas de limite pour le coeur.
Gabriel Corriveau, à 19:04 le 31 mars
La réalité se cache derrière l'espoir. Sans espoir, aucune réalité n'est possible
Mélanie Radermaker, à 19:05 le 31 mars
Mais le coeur est fragile!!?
Gabriel Corriveau, à 19:09 le 31 mars
Là est un autre débat, mais le coeur à ses raisons.Parfois, le coeur espère et parfois il est déchiré par ses propres espérances
Marc-André Pelletier, à 19:10 le 31 mars
lorsque l'on espère, il faut espérer aveuglement, si nous espérons a demi-mesure, nous échouerons
Mélanie Radermaker, à 19:12 le 31 mars
Comment espérer aveuglément est-il possible si nous savons au fond le risque encouru??
Gabriel Corriveau, à 19:17 le 31 mars
Pour répondre à l'espérance aveugle, il est possible d'espérer aveuglément lorsque notre coeur ne nous guide pas. Espérer aveuglément signifie donc espérer quelque chose qui ne nous tient pas à coeur. En effet, espérer implique aussi de connaître les risques encourus.De plus, l'espoir est une mémoire qui désire. Elle espère uniquement le possible. Il faut espérer toujours le meilleur mais il faut être prêt pour le pire.... Le moment le plus important d'une vie est la journée où l'on commencer à croire en quelque chose.
Mélanie Radermaker, à 19:24 le 31 mars
Mais le coeur nous guide forcément car c'est lui qui espère. Il ne veut tout simplement pas écouter la raison qui du coup nous ferait descendre de notre petit nuage! Et ce moment important de la vie implique la souffrance car l'un ne vient pas sans l'autre.

lundi 30 mars 2009

La vie n'est qu'une affaire de choix

Vieillir est une chose qui se gagne, l'expérience et l'honneur est une chose qui s'apprend.

La vie n'est qu'une affaire de choix. Parfois notre destin tient qu'au bout de nos doigts. Il y a toujours un dernier espoir pour ceux qui coulent.

Parfois, il y arrive que nous sommes dans le comble du malheur et que tout semble mal aller. Parfois, un évènement de plus se présente qui nous fait baisser les bras, qui nous fait abandonner tous nos espoirs. Souvent l'on rencontre quelqu'un qui nous ressembles, qui nous comprend. Qui a vécu des évènements semblables, des situations semblables.

Est-il possible de prendre ce que nous avons besoin mais en n'en prenant moins que nous en denons ? Est-il possible de garder la tête haute malgré le fait que personne ne connait ton nom ou ce que tu as fait ? Serait-on prêt à tout risquer et avoir la chance de se retrouver seul ?

Il faut prendre chaque chance de pouvoir démontrer que nous sommes le genre de personne qui ne regarde jamais en arrière, qui ne regarde jamais en bas et ne laisse jamais rien partir.

La meilleure expérience de vie est celle que nous vivons. Il y a toujours un gardien qui sera près de nous à nous surveiller. Une personne a dit un jour : "La vie n'est qu'une affaire de choix."
Nous prenons souvent des décisions, je prends aussi la mienne: Je ferai n'importe quoi pour que d'autres vivent.

Parfois je me dis que j'aimerais atteindre un idéal, une source; devenir un modèle. Pas me vanter de mes acquis, de mes expériences ou de mes avoirs, mais bien de les partager avec les gens. Faire partager mon savoir, mes expériences, mes connaissances, mes acquis, pour que d'autres puissent en bénéficier.
Présentement, je regarde les gens qui ont beaucoup de diplômes, bien gradés, avec une personnalité hors pair, et j'aimerais leur ressembler. Humble, méritant ce qui leur est arrivé. J'aimerais être aussi polyvalent qu'eux, et avoir l'honneur de me dire que j'ai été capable de me rendre jusqu'où je me serai rendu.
Je connais quelqu'un qui a été dans l'armée, et qui a fait ses études dedans, qui est maître nageur ayant nagé la Manche (La mer séparant la France et le Royaume-Uni), cette personne a aussi son niveau 3 moniteur de ski de l'AMSC, et elle a bien autres.
Quand je la regarde, je suis fier d'elle, fier de son parcours et fier de sa personnalité. Je me dis qu'un jour je voudrais être aussi fier que ça de moi et de me dire que ma vie est une réussite.


"La vie n'est qu'une affaire de choix" et c'est ce qui dépend nos vies. Parfois notre destin tient qu'au bout de nos doigts. Il y a toujours un dernier espoir pour ceux qui coulent. Vieillir est la plus belle chose puisque les rides, nos cicatrices, sont tous des marquent de nos expériences et de notre évolution.
J'aimerais avec mes expériences, mon savoir et ma vie derrière moi pouvoir sauver tous les gens qui seraient pris derrière une mer enragée, un mur. Leur montrer de ne pas baisser les bras, qu'il y a toujours une manière de se dire qu'on est le genre de personne qui ne regarde jamais en arrière et qui ne laisse pas tout tomber.

















mercredi 25 mars 2009

On attends souvent l'instant qui ne viendra peut-être jamais

On attends souvent l'instant qui ne viendra peut-être jamais,
On attends souvent longtemps dans l'espoir d'un éventuel signe,
On attends mais jamais l'instant n'apparait.

On attends l'instant où l'espoir ne sera plus uniquement un rêve mais une réalité,
On attends que cet instant vienne un jour frapper à notre porte malgré le désespoir qui sommeil profondément en nous,
On attends que ce désir lointain finisse par se réaliser.

On attends souvent l'instant qui ne viendra peut-être jamais,
On attends trop longtemps ce signe qui ne semble survenir,
On attends mais jamais l'instant n'apparait.

On attends l'instant où ce signe surgira,
On attends souvent un moment qui nous plait,
On attends et l'espoir disparait caché derrière la raison,
On attends souvent le moment qui transparaît.

On attends souvent l'instant qui ne viendra peut-être jamais,
On attends trop longtemps ce signe qui ne semble survenir,
On attends mais jamais l'instant n'apparait.

Plus on attends et moins l'instant semble venir,
Plus on attends et plus l'espoir semble s'enfuir,
On attends mais on ne semble trouver notre paix,
Plus on attends et moins on a de chance de le découvrir,
Plus on attends et plus l'instant présent a de nouvelles choses à nous offrir,
Mais,
On attends parfois trop longtemps l'instant qui ne viendra peut-être jamais...

mardi 24 mars 2009

Liens entre les personnes

Plusieurs personne croient que les rencontres sont créées et prédéterminées par le destin et d'autres croient au hasard. Si je parle à une telle personne ou à un tel, c'est que préalablement, je devais avoir le destin de la rencontrer. Ainsi, si je connais quelqu'un et qu'une autre personne la connais aussi, cela voudrait dire que nous avions le même destin. Si plusieurs personnes se connaissent entre elles, cela voudrait donc dire qu'il y aurait un but, un lien à faire entre nos divers destins qui nous ont mené à se rencontrer. D'autres croient que si nous rencontrons quelqu'un c'est le pur hasard des choses et tant mieux pour nous. Il faut profiter des choses arrivant dans notre vie et savoir les exploiter.

Souvent, il arrive que l'on parle à quelqu'un, que notre ami arrive et vient nous parler. Par la suite, on réalise que notre ami connaît la personne avec qui on parlait. Il y a souvent des liens entre les personnes que l'on croyait même pas exister.
Plusieurs liens ainsi sont fait envers les personnes que l'on connait. Non seulement lors d'une rencontre et envers les liens entre les destins, mais aussi à travers les fréquentations que nous avons. Par exemple, il y a des liens d'amitié envers deux personnes, de la franchise, de la complicité.

mardi 17 mars 2009

Moitié de mon objectif accompli

La moitié de mon objectif est accompli !!!

LE CAP DU 10 000 MOTS EST FRANCHI !!!

J'ai réussis à écrire plus de 10 000 mots en moins de 2 mois ! (en 41 jours exactement)
Une moyenne donc de 243 mots par jour.

Être raisonnable, toujours, en toutes circonstances

Le premier cours de philosophie au cegep est porté sur la rationalité et pourtant cela reste un concept difficile à comprendre.
Alors qu'est-ce que la rationalité?

La définition du dictionnaire dirait que c'est un caractère de ce qui obéit aux lois de la raison, peut être connu ou expliqué par la raison.

Philosophiquement, cette définition reste incomplète. Descartes, dans son ouvrage "Discours de la méthode" (1637) il dit: Le bons sens (la raison) est la chose du monde la mieux partagée.

La pensée rationnelle est une pensée méthodologique permettant de bien penser. Elle spécifie un certain nombre de règles, appellées lois ou principes, guidant la pensée dans la recherche de la vérité.

Selon Jean Laberge, un professeur de philosophie du Cegep du Vieux-Montréal, la rationalité doit obéir à 10 règles:
1) Objectivité de la vérité
2) Préférabilité de la vérité (préférable de croire en la vérité)
3) Devoir chercher la vérité
4) Universalité
5) Cohérence
6) Intelligibilité de la vérité (la vérité telle qu'elle est)
7) Expérience sensible répétée
8) Simplicité
9) Puissance explicative (doit expliquer plusieurs choses)
10) Causalité (tout effet correspond à une cause naturelle)

La rationalité et la raison sont indissociables.
La rationalité emploie la loi fondamentale de la raison. Descartes, un idéologiste rationaliste utilise cette loi. Elle consiste à partir de queques cas ayant en commun une certaine caractéristique, on peut généraliser cette caractéristique à tous les autres cas.
Donc, la rationalité traite de toutes les règles auxquelles obéit la raison.

Dans son contraire, il existe l'irrationalité qui ne relève pas de la raison. L'irrationnel se dit de ce qui n'est pas le produit d'une action consciente de la raison.
Freud est bien connu pour sa thèse sur le subconscient et ce dernier utilise parfois l'irrationnel. Freud dit: Laisser exprimer l'irrationnel est la condition du plein exercice de la raison. L'irrationnel définit l'autre aspect de l'homme.

L'irrationnel est donc un obstacle pour la raison et limite son exercice. Le désir de la raison de tout savoir lui fait oublier qu'il y a une limite à ce qu'on peut savoir.

On peut donc conclure que le concept de rationalité et d'irrationalité se repoussent l'un l'autre.

Il faut commenttre l'irrationnel pour ne pas le recommettre. C'est en faisant des erreurs qu'on apprends à les corriger alors c'est la même chose pour la rationalité.

Ainsi donc, la rationalité est ce qui obéit à la raison tout en respectant les lois qui l'établit en restant communicable, universelle, et non propre à chaque esprit.
Finalement, la raison doit sans cèsse respecter ses exigences et faire preuve d'esprit critique face à ce qui semble irrationnel sans pour autant oublier d'évoluer pour ne pas disparaître sous l'irrationnel.

Serons-nous un jour mener par l'irrationnel ? Est-ce qu'un jour le rationnel pourrait se faire corrompre par l'irrationnel et nous viverions dans un monde contre toute raison ? Peut-être qu'un jour ce sera l'irrationel qui déterminera la rationalité...

lundi 16 mars 2009

Les temps de verbe...

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Le passé est déjà composé, le futur et simple et conditionnel puisque c'est au présent que je vis.
Il est impératif de vivre jour le jour pour voir les beautés du monde qui sont infinitivement grande. Les évènements infinis présents ou passés demeurent tout de même un futur à venir. La condition pour atteindre le bonheur plus-que-parfait est de ne pas regarder dans son passé antérieur et de participer présentement aux occasions qui se présente. Un bon indicatif pour voir si nous sommes sur le bon chemin est de visionner le futur à travers un miroir.
Il faut que nous soyons subjectif toute notre vie pour ne pas dérailler de notre voie puisque nous vivons dans un monde imparfait, un monde où nos sens peuvent nous tromper.

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J'ai construit ce texte uniquement avec des temps de verbes différents. Vous y trouverai des phrases construites avec des temps de verbes sans pour autant que les phrases aient du sens entre elles. J'ai simplement voulu jouer avec les temps de verbes pour créer un texte.

Combien de temps de verbe y trouvez-vous ?

vendredi 13 mars 2009

Être ce que l'on fut

Est-ce possible d'être ce que nous étions, sans pour autant être ce que nous fûmes.

Aujourd'hui est le futur d'hier et le passé de demain. Pourtant, nous sommes actuellement autant dans le présent, que dans le futur et le passé puisque hier est terminé et demain n'est qu'à venir. Pourquoi perdre du temps à penser au passé ou bien au futur puisque c'est au présent que nous vivons. Chaque minute que nous perdons à penser au passé ou au futur, on perds 60 secondes du moment présent.

Une personne évolue à travers le temps grâce aux évènements auxquelles elle participe, grâce aux personnes qu'elle fréquente.


Le moment présent est une projection du présent dans une série successive d'évènement, c’est-à-dire que chaque instant correspond à un présent instantané. Le présent lui-même est à son tour une projection puisque nous ne pouvons vivre dans un présent pur.
Le passé est l’accumulation des temps antérieurs, selon un lien chronologique tandis que le futur est l’ensemble des présents à venir. Ce qui fait que l'avenir est incertain ce sont les évènement à venir qui sont susceptibles d’être encore modifiés.

Face à la différence je reste ouvert. C'est si simple dit, simple fait, mais difficile à perçevoir
ainsi qu'à concevoir.


Le temps fait avancer la vie mais ne recule pas dans le passé. Si tel est ma voie, et que c'est le chemin que je devais prendre alors c'est ainsi que je dois le poursuivre. Le passé m'était tracé et le futur me l'est aussi. À présent, le temps est venu d'être ce que j'étais sans pour autant être ce que je fût.

Le temps est venu d'être...

vendredi 6 mars 2009

L'ordre logique des choses

Qu'est-ce qu'un lettre; qu'est-ce qu'un mot; qu'est-ce qu'une phrase?
Qu'est-ce qu'un chiffre; qu'est-ce qu'un nombre; qu'est-ce qu'une équation ?

Nous apprenons que "a" est la première lettre de l'alphabet, qui est composé de 26 lettres, pouvant former des mots réunis ensemble. Nous apprenons, par ailleurs, que la lettre "b" est la deuxième lettre de l'alphabet. Pourquoi nous n'avons pas établi que la lettre "b" serait la première lettre de l'alphabet et que le "a" serait la deuxième ? C'est simplement été établi ainsi. L'ordre dans l'alphabet n'a pas vraiment d'importance dans les sons ou bien dans les mots formant des phrases.
Dans la langue française, nous savons de plus que les lettres "a" et "u" réunis ensemble forme le son "o", que les lettres "e" et "l" formé ensemble peuvent former un mot ("elle") et que ce mot forme le son "l". Pleins de liaisons ainsi créent des mots qui servent à former des phrases. C'est donc une référence universelle qui a été établi où l'on réussi à se comprendre à travers ce référentiel.
Voici une façon de mieux le concevoir:
«si vuos pvueoz lrie ccei, vuos a evz asusi nu dôrle de cvreeau. Puveoz-vuos lrie ceci? Seleuemnt 55 porsnenes sur cnet en snot cpalabes.Je n'en cyoaris pas mes yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis. Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fiat à l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas luqeel les lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la derènire letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas? Et moi qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! »

Si vous réussissez à le lire, vous comprendrai pourquoi il y a un référentiel qui nous aide.
Sans référentiel, comment ferions-nous pour nous comprendre ? C'est grâce à ses balise pré-établi qui font l'ordre logique des choses.

Par exemple, en mathématique, nous savons que 1+1=2
Voyons si nous partons de cet évidence et que nous changeons l'ordre ce qui se passe:






Voilà où est l'importance de l'ordre!
Nous pourrions réinventer les mathématiques grâce à ce concept. En voici 3 autres:








Ainsi donc, l'ordre des choses et les règles établies sont pas pour rien et il est important de les suivre. Un langage est créé pour se comprendre, les chiffres ont été créé pour calculer, les règles ont été créé pour être suivies.
Nous savons maintenant pourquoi l'importance de l'ordre est primordiale.

lundi 2 mars 2009

L'être humain réduit au primate

Qu'est-ce que serait l'être humain réduit au primate?
Que serait-il sans son intelligance et ses avancées technologiques ?

L'être humain est une espèce qui est venue très rapidement dépendant de ses avancées à travers le temps. Il a tout d'abord évolué intellectuellement, physiquement, et aussi technologiquement. Si nous réduisons l'être humain à sa plus petite expression; sans son savoir, sans sa technologie qu'il a créé, sans tout ce qu'il a créé depuis ces dernières 1000 ans, l'être humain ne devient plus rien. L'être humain n'est rien sans tout cela.

Prenons par exemple une journée où les transports en commun, les vélos et les autos ne marchaient tous plus. Imaginez le grand nombre de personnes qui devraient marcher pour aller au travail, à l'école ou pour aller où l'obligation doit les mener.
Imaginez par la suite l'être humain sans électricité. Que ferait l'être humain sans électricité ?
Tout d'abord, presque tout fonctionne aujourd'hui avec l'électricité: chauffe eau, télévision, éclairage, ordinateur, grille-pain, laveuse, sécheuse, four, frigidaire, chauffage, et j'en passe...
Imaginez durant une journée chaude d'été, sans électricité, que feriez-vous avec vos aliments ? L'être humain est rendu trop dépendant et ne serait que faire. Imaginez maintenant passer une journée très froide de l'hivers, sans électricité, donc sans chauffage. Ne pouvoir se réchauffer même en étant dans sa propre maison, à l'intérieur.

Le meilleur exemple pour voir l'être humain à son état réduit est lorsqu'il y a une panne de courant. Lorsqu'arrivé au soir, sans lumière, essayez de marcher (sans lampe de poche) pour vous diriger dans votre maison. Comment vous sentez-vous lorsqu'il y a une panne de courant ?

Le monde ne serait rien sans la venu de l'électricité et de ses avancés technologiques.
Tentez l'expérience de se réduire à toutes technologies et connaissance durant toute une journée pour voir ce que vous feriez !

jeudi 26 février 2009

Méthode de Descartes pour trouver la vérité

René Descartes (1596-1650) est une personne très connu soit en mathématique, soit en physique soit en philosophie car il a porter sa carrière sur ces 3 aspects. Il est plus qu'un penseur scientifique, il est aussi considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie moderne.

Il a apporté les raisonnements de l'algèbres dans la géométrie et plusieurs lois en physique tel que la loi Snell-Descartes en optique.


Descartes, a aussi apporté des choses en philosophie puisqu'il est considéré comme l'un des fondateurs de la philosophie comme mentionner plus haut. Il a écrit Le Discours de la méthode (1637) où il élabore une méthode universelle voulant atteindre la certitude. Ainsi, pour atteindre cette certitude, Descartes pratique le doute systématique qui est de remettre en doute toutes les connaissances que nous avons. Pour s'assurer de la solidité de nos connaissances, il faut trouver une réponse inébranlable à laquelle nous pourrions déduire tout le reste.
Dans son livre Le Discours de la méthode, il parle de sa méthode afin d'arrivé à la certitude:

1) La Certitude (porter aucun jugement s'il est incertain) -> on détecte le problèmes
2) L'Analyse (diviser en partie plus simple) -> on trouve les problèmes
3) La Synthèse -> on cherche les relations entre les problèmes
4) La Révision -> on vérifie si notre diagnostique est le bon et si la relation entre les problèmes est correcte.

Nous faisons tous ça souvent durant notre vie sans même s'en rendre compte. Très souvent, dans plusieurs métiers, ou même à l'école, on se sert de cette méthode. Par exemple, en ski, les moniteurs utilisent cette méthode afin de corriger un élève. Premièrement, ils détectent le problème chez l'élève, ensuite ils détectent ce qui cause ce problème en faisant la relation entre la cause et le problème et ensuite ils posent leur diagnostique afin d'améliorer l'élève. Cette méthode, en ski est nommé "détection-correction" ou "analyse et développement".

Ainsi donc, grâce à Descartes et sa contribution à la philosophie moderne, l'on réussis à s'améliorer et à persévérer.

mardi 24 février 2009

Les perceptions


Nous voyons souvent des choses, nous entendons souvent des choses, nous sentons souvent des choses. Nous avons défini des choses depuis notre naissance ce qui donne un sens à ce qu'on perçoit. Nos parents nous ont dit que ce avec quoi on mange et qui a quatres piques, s'appelle une fourchette. Nous le voyons et ne pouvons le réfuter. Pour vérifier que ce ne soit pas un canular de leur part, on peut demander aux autres personnes qui vous diront que c'est bel et bien une fourchette.

Par contre, qu'est-ce qui nous dit que nous ne sommes pas trompé par nos sens ? Je donne comme exemple un daltonien. Le daltonien ne voit pas certaine couleur. Par contre, il a identifié la couleur verte à la manière dont il voit. Ainsi, si pour lui le vert ressemble à du gris, il a appris que ce gris s'appellait vert. Qu'est-ce qui nous dit que nous ne voyons pas tous le même vert ? On apprends à reconnaître une couleur dans notre enfance. On peut avoir appris que la couleur verte, ressemble réellement pour nous à du rouge. Le nom de la couleur est simplement mis sur cette dernière pour l'identifier.
Je donne un autre exemple, les sons que nous entendons. Si nous prenons une note de piano (d'une fréquence d'environ 4 000 Hz), tout le monde l'entend. Un son de 12 000 Hz, les gens de 60 ans et plus ne l'entendrons pas, les gens de plus de 40 ans n'entendront pas un son de 15 000 Hz, 17 000 Hz est le son Mosquitone que peu de gens entendent, et les son de 20 000Hz sont entendu seulement par les enfants et les animaux. Pourtant, ces sons, ils existent mais nous les entendons pas tous.



Ainsi, nous percevons tous quelque chose d'une manière différente. Pourtant, rien nous certifie que nous percevons tous les mêmes choses de la même manière. La couleur que je vois, l'objet que je vois, le son que j'entends, la table que je touche, la personne que je vois, etc, sont tous des choses que nous observons grâce auxquelles nous avons été éduqué à comprendre. Nous voyons bleu car nos parents nous ont montré que cette tâche, que c'était ce nom "bleu" alors que nous devions associé cette tâche avec le mot bleu. Que le son "wouf" nous l'avons associé à un chien qui aboit, le son "miaou" est associé à un chat. Nous avons tous associé des sons ou des images à un mot alors que théoriquement ces sons ou images existaient bien avant que les mots permettant de les définir existent.

mardi 17 février 2009

Si pour te plaire...

Souvent, la symbiose entre deux personnes est compliquée et mal comprise. Qu'est-ce qui fait que soudainement on tombe amoureux d'une personne, qu'on se sent attiré vers cette personne ? Tout débute par un regard, mais qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de nous ? Une réaction chimique, sûrement, mais ce qui déclenche cette réaction est toutefois incomprise.

L'attirance envers une personne est le seul rêve qui se rêve pas. L'amour nait d'un sourire, vit d'un baiser et meurt d'une larme. «À défaut d'être au-dessus de tout le monde, on veut être comme tout le monde, par peur d'être en dessous et c'est le meilleur moyen de ruiner un amour véritable. Pour pouvoir aimer quelqu'un, il faut d'abord s'aimer soi-même». En amour il faut se décider: ou bien on vit avec quelqu'un, ou bien on le désire. On ne peut désirer ce qu'on a, c'est contre la nature. Une vraie et longue histoire est formée de hauts et de bas qui ont toujours été surmontés, c'est ce qui créent la force d'un couple.

L'amour est incomprise et le sera probablement toujours.
Pourtant, elle sera toujours présente et on en perds tous nos sens...


Si pour te plaire je dois renier mon présent pour passer tout mon temps avec toi, je le ferai. Si pour te plaire je dois te donner mon coeur, je le ferai. Si pour te plaire je dois laisser ma vie derrière, je le ferai. C'est en tombant qu'on apprend à marcher, alors je vais tomber en amour pour apprendre à t'aimer. Te voir ainsi, devant moi, sans pouvoir faire quoi que ce soit, autre qu'attendre un simple geste de ta part me fait perdre la tête. L'attente est tellement longue, tellement éternelle. Je fond à ton simple regard vers moi. Être en ta compagnie et espérer plus sans réponse est plus infernal qu'un simple réponse négative. L'espoir de l'impossible est parfois plus dur et plus douloureux qu'un refus. Sans apprentissage de la douleur, le bonheur n'est pas solide.
Lorsque tu es dans mes bras, tu glisses entre mes doigts. Je n'arrive pas à te garder près de moi sans te revoir partir en me tournant le dos. Chaque approche, chaque tentative, est une épreuve difficile. Lorsque ton regard vient se heurter contre le mien, je souffre en pensant que ton regard ne regarde pas en moi ce que je voudrais que tu y vois. Je te vois avec les yeux de mon coeur où mon coeur ne réussit pas à aller chercher le tient pour battre en harmonie tous les deux ensembles. J'entends ton coeur, j'écoute le mien, ils sont si près d'un battement symphonique mais malencontreusement séparés de quelques battements. La flamme que j'ai surgissant de mon coeur tente d'aller réchauffer le tien, créant en toi un volcan expulsants de chauds sentiments. Te voir ainsi, aussi radieuse et rayonnante, me permet de rêver. Te regarder est devenu mon spectacle préféré.

"L'homme ne serait rien sans ses rêves."
Mes rêves ne seraient rien sans toi.

Pourtant, je ne te connaissais pas avant et maintenant, je ne pourrais déjà plus me passer de toi. Tu es entrée dans mon coeur et tu ne pourras y sortir sans le déchirer. Tu es devenue la personne avec laquelle je veux passer mon temps, ne jamais m'éloigner malgré le fait que nos chemins se séparent de temps en temps. Se séparer est le moment le plus triste, les moments sans toi semble interminables. Tu es dans mon coeur et tu y restera à jamais.
Si seulement....


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