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compteur live

mardi 7 décembre 2010

Une vie si courte alors pourquoi perdre son temps ?


Une chose est alarmante et pourtant très peu de gens le réalise. Souvent l'on entends les gens dire qu'ils n'ont pas suffisamment de temps pour faire quelque chose, pour passer du temps avec leur famille, pour voir des amis, pour réaliser un travail. Peu de gens réalise à quel point une simple perte de temps peu causer un retard énorme.


Le transport pour aller travailler, sans parler des distances à faire pour aller magasiner ou autre, correspond en moyenne à 2h par jour aller-retour. Ce qui signifie en moyenne 500 heures (2h * 5jours par semaine * 50 semaines) sont perdues par année uniquement pour se rendre au travail. Il faut réaliser que cela correspond à 5% du temps est passé annuellement à attendre à cause du trafic.

Dormir peut sembler un bien nécessaire, mais pourtant, durant ce temps, nous ne faisons rien. En moyenne, une personne va dormir 8h par nuit, ce qui donne 2920 heures par an (8h * 365 jours) perdues à dormir. Ce temps passé à dormir correspond exactement au tiers de notre vie (2920 heures/ 8760 heures totales par année), soit 33,3% du temps est passé annuellement à dormir.

Simplement en additionnant tout cela, 39% exactement du temps est passé annuellement à ne rien faire.

De plus, chaque jour, chaque personne perd du temps en tombant dans la Lune, se déplace à pied au travail ou à la maison, attends après quelqu'un, etc. Un calcul moyen permet de se donner 3h par jour qui sont passées pour ce genre de perte. Cela donne 1090 heures (3*365) annuellement utilisées à rien d'autre que perdre son temps. Cela implique que 12,5% du temps est passé annuellement en perte de temps.

Cela implique un grand total de 4515 heures (500 heures de transport + 2920 heures à dormir + 1090 heures en perte de temps) perdues au total. Imaginez, une année contient 8760 heures (24h * 365 jours) et au grand total 4515 heures sont perdues. Cela représente 51,5% du temps est perdu annuellement.

Soit 338 625 heures ( (75 ans * 365 jours * 24h) * 51,5%) perdues dans une vie moyenne. Si l'on diminuait uniquement de 1h notre sommeil, on gagnerait 365h par année, soit 27 375 heures pourraient être gagnées durant sa vie uniquement en diminuant de 1h notre sommeil.

Imaginez tout ce que nous pourrions faire avec ce temps.




vendredi 26 novembre 2010

Stupidité ou naïveté de vouloir être gentil ?


L'être humain est un être voulant son propre bonheur et celui des autres. Pourtant, pour certains, le bonheur des autres passent avant son propre bonheur.

Lorsque la gentillesse envers autrui n'est même plus remarqué, que l'on prend pour acquis votre gentillesse et que l'on vient presque à s'en foutre, on se demande à quoi bon d'être gentil avec tous.
Lorsque la sagesse et la gentillesse se fait envoyer promener et ne se fait même pas remarquer.
Lorsque l'aide apportée à quelqu'un n'est même pas perçue.
Lorsqu'on se sent même pas apprécié.
Lorsqu'on se fait niaiser en voulant être gentil.
Lorsqu'on réalise que l'on attends pour rien pour des gens qui se foutre de toi.
Lorsque personne ne te répond quand tu attends après eux.
Lorsqu'on te répond 15 minutes plus tard montrant que tu n'es pas important pour eux alors que tu les attends depuis déjà plus de 10 minutes.
Lorsque l'on tente d'épargner quelqu'un de faire quelque chose et que cette personne s'en fou.
Lorsque tu dis que tu pars et que l'on te dis que les gens vont te suivre, mais personne ne vient.
Lorsque tu attends seul puisque tu es indépendant mais que tu attends et te fais sentir dépendant aux autres.
Lorsque ton indépendance te montre que tu devrais être dépendant pour ne pas te retrouver tout seul.
Lorsque personne ne semble s'intéresser à toi.
Lorsque ton orgueil prend un coup.
Lorsque même quand les gens semblent t'apprécier, quand ils boivent, tu réalises que tu n'es plus grand chose à leurs yeux.
Lorsque tu n'as plus vraiment d'importance lorsque quelqu'un ou quelque chose arrive.
Lorsqu'on te fait attendre mais que personne n'attendrait après toi.
Lorsque tu réalises que parfois il faut suivre son instinct et ne pas perdre son temps pour des gens puisqu'ils ne feront pas la même chose pour toi.
Lorsque c'est toi qui dit de partir mais que personne ne réagit et tu dois attendre, mais quand c'est quelqu'un d'autre qui le dit, tout le monde l'écoute et réagissent.
Lorsque t'es tanné que ton indépendance et ton leadership te mène nul part.

Lorsque des gens vont rire de toi par la suite en lisant ceci.
Lorsque les gens vont nier toutes ces faits ci-haut mais que dans le fond, une part de vérité s'y cache.
Lorsque l'on sait très bien que rien va changer et que ça sera toujours pareil.
Lorsque l'on se sent mal de réagir ainsi justement par gentillesse envers les autres par peur de les blesser.
Lorsque tu te sent naïf et stupide tout simplement.

Lorsque plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucun point d'ancrage te rattache à ce que tu fais et lorsque tu ne sais plus à quoi s'accrocher...

C'est dans ces moments-là qu'on se demande si ça vaut vraiment la peine....

dimanche 14 novembre 2010

Soyons un miracle




Qui sommes-nous pour juger si une action est morale ou non ? Est-ce que vivre est plus moral que la mort d'une personne ? Dans plusieurs états aux États-Unis, et partout dans le monde, plusieurs personnes n'ont aucune assurance hospitalier. Des coûts faramineux se rattachent à la survie d'une personne. Où est l'action morale dans tout ceci ? Mettre un coût et décider de ceux qui survivront et ceux qui devront attendre. Qu'arrive-t-il lorsqu'une personne est grièvement malade et que sa vie tient par un seul fil ? La moralité d'une action devient une question impossible à répondre dans cette circonstance. Seule la mort d'une personne peut venir sauver la personne grièvement malade. Seule la mort d'une personne décide de la vie d'une autre. Mais où est cette équité dans la vie. Dans le cas où un parent voit son enfant s'éteindre à petit feu en attendant une greffe du coeur, quelle plus grande douleur envisageable que cela. Parfois même, il arrive que les gens ne sont même pas éligibles à la liste d'attente pour une greffe. Voir son enfant en train mourir et ne rien pouvoir faire, être totalement et entièrement à la merci du système de santé.

Lorsque l'attente d'un donneur ne peut plus se faire attendre, une question morale vient surgir dans les esprits de tous parents : S'il faut qu'un autre meurt pour que mon enfant survive, alors pourquoi je ne lui ferai pas don de ma vie ? Qu'est-ce qui devient morale comme action, s'enlever la vie ou bien sauver la vie d'une personne ? Voir son enfant mourir et devoir l'enterrer ou bien que votre enfant vous enterre. Sans aucun doute, aucun parent ne voudrait devoir enterrer son fils. Je vous laisse y penser...


Soyons celui ou celle qui donnera la vie à d'autres. Soyons le miracle que d'autres attendent.

vendredi 12 novembre 2010

Apprendre à se relever, voilà la force de l'Homme





(Musique à écouter en même temps que la lecture)


L'Homme a toujours dut confronter des obstacles et passer au travers. Pourtant, il arrive parfois des moments où la montagne semble plus haute que toutes les espérances. Devant cette montagne, tout espoir disparaît et plus rien n'est pareil. Le ciel semble noir, le gazon brun et les nuages gris. Plus rien ne va...

La joie du coeur n'y est plus et chaque heure semble infinie. La motivation disparaît, l'âme semble envahi et disparaître du corps. La simple idée de ne plus être présent dans le corps passe par la tête, on s'abandonne complètement. Humble mais réaliste, parfois il est impossible de se mettre face à la réalité et de la confronter en pleine figure. La réalité est d'un tel mal qu'il nous devient impossible de vivre dans le présent. Soit on se rappel du passé, soit on se projette dans le futur, pour nous aider à traverser ce moment. Le passé implore des souvenirs et des larmes, le futur crée un vide. Le présent pour sa part n'est impossible à vivre, la douleur est immense et inconcevable. Fuir la réalité par peur qu'elle ne se sauve. Partir, s'en aller loin, autant au sens figuratif, dans les pensées, que loin du monde.


Penser à la réalité vient comprimer les organes à l'intérieur de soi et plus aucune pensée ne traverse l'esprit, le néant total, on réalise à quel point chaque mot peut avoir un pouvoir sur quelqu'un. Les poids des mots lorsqu'on apprend quelque chose est énorme. Parfois les plus petites nouvelles peuvent frapper davantage et venir chercher les émotions à l'intérieur de soi. Un simple mot, une simple phrase peut venir faire basculer la vie d'une personne. Faire réaliser à quel point chacun réagis différemment et comment l'être humain est fragile. Une simple phrase banale peut parfois venir blesser plus qu'un coup au visage. Comme quoi, la réalité peut venir changer une personne et lui laisse une cicatrice qui, tant bien que mal, restera toujours graver en soi.

La joie est un tout; nul ne devrait vivre avec tout autre sentiment. L'être humain devrait être plus fort que cela et être capable de passer au travers. Est-ce normal pour l'être humain de craquer, ne plus avoir le contrôle sur ses émotions ? Ne devrait-il pas être capable de se distancier de ses émotions pour garder le contrôle sur soi ? Chaque personne a sa propre façon de cacher ses sentiments. Certains montreront tout simplement leurs sentiments, d'autres font rire les gens les permettant d'oublier leurs propres problèmes et à cacher leurs sentiments. Lorsque la personne qui fait toujours sourire les autres et qui est toujours enjouée devient celle pour qui rien ne va, c'est un coup dur. Un coup qui fait réaliser que toute personne finit un jour ou l'autre par craquer. Être celle qui, même triste, cache ses problèmes pour faire sourire les gens. Être la personne pour qui ses propres joies et bonheur passera après celui des autres. Craquer quand l'on est convaincu que ça nous arrivera jamais et que même les blagues ne finissent plus à cacher ses sentiments. Un coup dur à surmonter. Le quelque peu de bonheur espérer ne vient parfois jamais et c'est lorsqu'il n'est plus possible de se cacher derrière ses sentiments que l'on apprend sur soi. Croire et espérer sont des mots qui ne mènent parfois nul part.



C'est dans les moments comme ceux-ci que l'on voit la force de l'être humain à se relever.


Surmonter les obstacles

Quand les grimpeurs observèrent de loin
les premières pentes de l’Everest,
tout était obstacle.
C’est en avançant qu’ils trouvèrent des passages.

Alain, Propos du 26 novembre 1921


mercredi 10 novembre 2010

NOUVEAUTÉ - LOGO SOUS LA PROTECTION DES DROITS D'AUTEUR





Mon logo officiel est dorénavant sous la protection des droits d'auteur autre que celui de mon site web. Voici le lien direct vers sa page de ma protection:
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vendredi 29 octobre 2010

Confiance en soi, un art en soit


Qui sommes-nous pour juger les gens ? Qui pouvons-nous prétendre être pour penser avoir le droit d'être supérieur aux autres ? Si l'on agit dans cette ligne de pensée, on peut donc voir le monde d'une autre manière. Les gens jugent trop rapidement et combien de fois c'est arrivé que l'on juge une personne au premier regard puis que cette personne devient un ami pour soi. Est-ce réellement tout le monde qui juge à première vue ou bien est-ce uniquement une minorité ?
Il est évident que la majorité de la population croient que les gens jugent au premier regard sinon pourquoi auraient-ils tous peur d'être jugés ? Pourtant, pourquoi se préoccuper de ces jugements. Qui sont-ils pour juger ? Il n'est jamais arrivé qu'un groupe d'amis se jugent entre eux. Alors à quoi bon se préoccuper des autres. Il faut avoir confiance et ne pas manquer d'assurance.

La confiance en soi est probablement le défi le plus difficile à remonter. Cette dernière est un sentiment de sécurité de celui qui se fie à quelqu'un ou à quelque chose. Difficile de l'admettre, le manque de confiance en soi est un phénomène menant parfois à la tristesse. Le concept de confiance est assez large. Avoir confiance en soi est tout d'abord avoir confiance en ses atouts et à ses possibilités. C'est aussi une personne qui va réussir à faire confiance aux autres, les accepter comme ils sont et s'enrichir de se qu'ils savent. Avoir confiance en soi c'est aussi une chose remarquée par les autres et permet d'être une personne à qui l'on peut se fier. Finalement, avoir confiance en soi, c'est d'avoir confiance en l'avenir, avoir de l'ambition pour le futur. Se sentir aimé pour ce qu'on est, être encouragée et félicitée nous propulse vers l'avant. C'est parfois dès la naissance lorsqu'on entend constamment de faire attention, de ne pas essayer, qu'on n'y arrivera pas, que c'est trop difficile que l'estime en soi mange un coup.



Il y toujours moyen de regagner cette confiance et tout d'abord il faut commencer à se connaître soi-même; connaître nos qualités et nos défauts. Faire taire la voie intérieur qui nous dit "De quoi j'ai l'air" et foncer; ne pas avoir peur du ridicule. Ma philosophie est "Fais stresser les autres à la place de stresser toi-même". À quoi bon ne pas avoir confiance en soi alors que nous sommes en possession de nos moyens et que nous n'avons pas honte de la personne que nous sommes. Au pire des cas, les gens nous jugeront, nous n'avons rien à prouver à personne. L'expression : Le gazon est toujours plus vert chez le voisin explique bien ce phénomène: on trouve toujours plus de qualité chez les autres que de défauts, et l'inverse envers soi. Pourquoi manquer autant d'assurance alors qu'on peut mériter tellement mieux.


Une personne de mon entourage à qui je tiens énormément m'a fait réaliser à quel point qu'une personne peut tout avoir mais que par manque de confiance en soi, à quel point celle-ci peut se rendre malheureuse. Une fille douce, tellement simple à vivre, pleins de belles qualités, jolie, intelligente, extravertie, mais elle ne réalise pas la chance qu'elle a. Elle a tout pour avoir confiance en elle et être heureuse. Voir cette fille pleurer alors que tout ce qu'elle mérite c'est le bonheur, est vraiment frappant et malheureux. Foncer, pourquoi craindre le jugement des autres alors que c'est les autres qui devraient prendre exemple sur soi ? Si seulement en voyant ce qu'elle est réellement, elle réalisait la chance qu'elle a d'être unique comme elle est.

Croire en l'épanouissement d'une personne ne se résume pas uniquement de croire en elle, mais aussi de la supporter dans les moments difficiles.

MED

mardi 26 octobre 2010

Se perdre dans ses propres pensées


Nous nous croyons parfois seul, pourtant il y a à ce jour 6 900 689 269 personnes mercredi 27 octobre 2010 à 0 h 05 min et 28 s, qui sont près de nous. C'est lorsqu'on se met à réfléchir, lorsqu'une chose nous tracasse ou bien nous perturbe qu'on réalise à quel point on peut être seul parmi tant d'hommes. Aussi petit que l'on est, le monde est grand et notre esprit trop curieux. Parfois il arrive des moments où l'on espère quelque chose, que l'on croit en quelque chose, on se renferme sur soi et l'on espère.
Ne vous est-il jamais arrivé de regarder le ciel, la lune, ou un paysage tout autre et de tomber dans vos propres pensées ? Un moment où plus rien autour de vous n'existe, un monde où la terre sous vos pieds ne semble plus vous soutenir. Un monde qui vous appartient. Des images viennent parcourir vos pensées et une histoire se crée. Parfois des images du passés surgissent et vous tombez dans les souvenirs qui vous semblaient oubliés, parfois des images d'un avenir incertain vous semblent se dessiner et vous en rêvez. Vous percevez cette avenir comme parfais, et vous priez pour que celui-ci se dessine comme vous l'aviez imaginé. Le monde où toutes vos espérances se concrétisent, où tout semble possible. On se met à rêvasser à ces images, et on s'attache à ses espoirs. Le fil de notre imagination nous dirige vers l'idéal et nous mène vers un endroit où l'infini existe. Et un moment lorsque vous revenez à la réalité, c'est là que vous réalisé la tristesse que ce monde peut amener. On réalise que ce n'était qu'une réflexion de notre imagination et que nos espoirs ne sont en vain qu'une parcelle du monde idéal que l'on va réellement avoir. On réalise que ce que l'on désire fermement ne se réalisera probablement jamais, et pourtant, nous continuons à rêvasser à ce jour où la vie nous réservera quelque chose.


dimanche 17 octobre 2010

Connaître une personne, un long parcours


Est-ce qu'on connaît quelqu'un ou bien on croit seulement bien connaître celle-ci ? Si l'on se pose la question, cela veut donc dire que l'on ne sait pas s'il est possible de bien connaître notre entourage. Lorsque tu arrives dans un nouvel endroit, une école par exemple ou un endroit de travail, les gens semblent tous inconnus à nos yeux. Des nouveaux visages, des nouveaux styles de personne, de nouvelle classe sociale de gens, tous des éléments qui viennent piquer notre curiosité. Ne vous est-il jamais arrivé de vous demander devant toutes ces personnes, qui sera vos prochaines connaissances, vos prochains amis, vos prochaines fréquentations ? Parfois, à ce moment, on se met à jaser à la personne assis près de nous, tu t'entends bien avec cette dernière et avec du recul, des semaines plus tard, tu réalises que tu ne lui parles même plus. Cela ne vous est jamais arrivé ?

Ces personnes que vous ne connaissiez pas au tout début deviennent petit à petit des gens qui s'incrustent dans votre quotidien. Vous commencez à leur jaser, à mieux les connaître mais ils vous paraissent toujours des inconnus. C'est à partir de quand que l'on réalise que ce gens ne sont plus "inconnus" mais bien "connus" pour soi ? Quand est-ce que le déclic se fait et que ces gens deviennent de l'acquis ? Il devient frappant ce moment où l'on réalise que nous sommes en train de leur compter notre vie plus personnelle, de leur raconter nos peines et nos joies ainsi que lorsque l'on a une conversation banale avec celle-ci. Des liens se tissent et peu à peu ils deviennent ce que l'on appel des connaissances.

Le moment vient où une fille frappe notre regard, où du tout début, notre regard était porté sur elle. L'on réalise réellement que nous sommes en train de lui jaser, de tisser des liens semblables aux autres, tissés avec des gens "ordinaires". On apprend à la connaître, à la connaître jusqu'aux moindres détails et on semble la connaître parfaitement. On semble l'avoir toujours connue, comme si, depuis notre enfance, nous lui avions toujours parlé. Lorsque vient le jour où tout ce que tu fais et agit faire référence à celle qui était une inconnue au tout début. Lorsque le monde tourne autour d'elle et que tout semble simple.

Parfois, connaître une personne est un parcours très long, pourtant, un jour, cette personne semble avoir toujours été dans votre vie et est loin d'être une inconnue pour vous. Ce jour-là, la beauté de la vie commence.

Dire que cette personne était un simple inconnu...

mercredi 29 septembre 2010

Pour que d'autres puissent vivre...


Que se passe-t-il lorsque la vie tient sur un fil ? Quoi de pire lorsque cela se passe directement sous nos propre yeux. L'action la plus terrible est de voir une vie en train de basculer à jamais. Faire face à la situation et se sentir totalement impuissant, ne pouvoir venir en aide à la personne est un sentiment qui ne se décrit pas. Seul ceux ayant vécus cette expérience pourront comprendre le fond de cette pensée et des sentiments qui s'y rattachent. Peu importe la gravité de la situation, la vie d'une personne étant en péril devient humainement insupportable. Être si près de la catastrophe et être épargné. La fameuse phrase "cela aurait pu m'arriver" est réellement ce qui se passe dans notre tête avec du recul. Pourquoi lui et pas moi ?

Si l'on considère l'être humain comme une être imparfait dans un monde parfait, pourquoi sa vie est-elle aussi fragile ? Serait-ce la preuve que l'être humain n'est que de passage sur Terre ? C'est lorsqu'on vit une catastrophe que l'on réalise que l'humain, peu importe ce qu'il vit et pense, reste humain. Face à une catastrophe, on n'est même plus soi-même; les conflits, les problèmes, les tourments, ne semblent même plus exister. La vie d'une personne vient de basculer et celle-ci se trouve en face de soi. Le regard de panique surplombe son visage et nul autre chose ne transparaît dans son visage outre le fait qu'il espère survivre. Lorsque cette personne se retrouve à tes côtés en train de se noyer et que tu n'es que son seul espoir, c'est à ce moment que l'on réalises que l'on a le pouvoir de décision sur la vie de quelqu'un. Cette personne, au regard creux et paniqué, te regarde et il est réellement possible de voir à travers son regard la personne réelle qu'elle est.

Quelques instants séparent le moment où l'on réalise se qu'il se passe et le moment où l'action se déroule sous nos yeux. Le pire des regards est celui d'une personne apeuré où sa vie est en danger. Grande noirceur, nulle son s'émanent de cette personne mais un regard permanent est porté en direction de soi. Nul doute, la vie de cette personne dépend de soi et il faut agir. On arrive près de cette personne et les seuls mots qui sortent de sa bouche sont "aide moi, je t'en supplies". Des mots tant difficile à entendre, des mots qui montrent à quel point cette personne s'accroche à vous pour survivre. L'on réalise à quel point de simples mots ont un poids lourd à porter. Soit c'est un fardeau à porter toute sa vie que la personne juste devant vous, à quelques doigts de distance, s'est éteinte car nous avons été impuissant, soit c'est une mémoire garder toute sa vie d'une vie sauvée. La première solution est un fardeau immense qu'aucun humain ne devrait à supporter; voir une personne devant soi s'éteindre sans avoir rien pu faire. Lorsque près de cette personne, un contact s'établit, c'est à ce moment que toute l'histoire peut être changée. Réussir à rattraper sous l'eau cette personne en train de couler et la ramener hors de l'eau, serrer si fort pour être certain de sauver la vie de cette personne et se mettre à nager sans réaliser les secondes qui s'écoulent. Perdre totalement la notion du temps, tout ce qui devient important est la survie de la personne qui se retrouve sous vos bras; c'est la seule chose qui semble être votre raison de vie. Nager le plus rapidement, remorquer cette personne pour la mettre en sécurité, donner toutes ses forces comme si plus rien n'existerait par la suite. Donner corps et âme à cette personne afin de lui donner une chance de survivre. C'est probablement le plus beau geste qu'un humain pourrait faire à un semblable. Rien de plus précieux que le regard de cette personne une fois secourue. Volontaire ou non, le regard d'une personne ayant frôlé la mort montre tant de reconnaissance, une reconnaissance infinie qui ne se trouve nul part ailleurs; aucun mot ne pourrait exprimer cette gratitude. Sauver la vie de quelqu'un est un geste qui peut sembler héroïque pour certain, mais sauver la vie de quelqu'un est uniquement un geste humain dans lequel on ne réfléchit pas; on agit tout simplement. Un regard qui reste gravé en mémoire.

Cet instant parait si long dans mon esprit mais pourtant a été si court en réalité. Comme quoi, la vie est une histoire qui peut se terminer en une fraction de seconde.

"Pour que d'autres puissent vivre"

vendredi 17 septembre 2010

Le temps, une notion totalement arbitraire


Le temps est une notion entièrement vague qui a été établit par l'homme afin de se situer dans les évènements dans lesquelles ils cheminent. Une notion totalement arbitraire créée pour l'utilisation unique des humains. Je dis "unique" aux humains puisque les animaux, ont-ils réellement une notion du temps ? Évidemment, par contre les animaux, les insectes, les plantes et toutes espèces vivantes perçoivent-ils tous le temps de la même manière. Ils ont notions du jour et de la nuit, d'une journée entière, par contre, leur notion du temps se limite assez sur ce point. Pour donner un exemple concret, si tu enfermes un chien dans une cage pour une journée, il va trouver le temps long et va s'ennuyer; ce qui est la preuve que le chien à une notion du temps. Pour ainsi dire, le chien a une notion du temps, mais n'a pas la notion de durer du temps. Il ne saura pas sa durer de vie, le temps avant de se rendre quelque part, combien de temps s'est écoulé depuis sa naissance.

Pour en revenir à la notion du temps, c'est une création purement humaine inventée par son besoin de connaissance et de combler son ignorance. Tel que défini dans le dictionnaire Larousse 1996 (la définition reste exacte et pourtant très bien actuelle), le temps est une notion fondamentale conçue comme un milieu infini dans lequel se succèdent les évènements et considérée souvent comme une force agissant sur le monde, les êtres. C'est lorsque nous pensons au moment de notre naissance que l'on réalise réellement l'espace du temps qui nous sépare de toutes les évènements vécus. Une seconde, un soixantième d'une minute, peut paraître très court mais tout dépend de notre interprétation qu'on lui donne. Une seconde peut être considérée comme une infime partie de une heure comme peut être considérée comme 100 dixième de seconde. Dans un marathon, une seconde peut paraître minime et très peu d'importance. Par conséquent, en course automobile, quelques dixièmes de seconde séparent les autos. Cela démontre une grande importance que l'on peut attribuer au temps.

Une année, soit 31 104 000 secondes, peut paraître énorme. Mais si on regarde, à la moitié d'un siècle, 1 555 200 000 secondes, soit environ 1,6 milliards de secondes se sont écoulées depuis la naissance. Pourquoi, si la notion du temps n'est pas arbitraire, lorsqu'on fait quelque chose qui nous ennuie, le temps passe lentement, et qu'à l'inverse, le temps passe trop rapidement quand on aimerait en avoir plus ? C'est une simple question de perception, qui fera sujet d'une prochaine rubrique à venir. C'est toujours dans les moments les plus agréables que la perception du temps change et qu'elle est perçue comme étant plus courte.

À chaque anniversaire, il est étonnant de se demander le temps passer depuis sa naissance. Oui, cela peut sembler anodin et sans but puisque l'on célèbre le nombre d'année depuis la naissance, mais peut de gens voit leur anniversaire sous l'angle d'une nouvelle année. Plus précisément, lors d'un anniversaire de naissance, par exemple 50 ans, c'est aussi la date de commencement de la 51e année. Pourquoi célébrer la naissance en la voyant du passé plutôt qu'avancer vers l'avenir en célébrant la naissance d'une nouvelle année à son actif ? Puisque le temps est une fiction relative, il est possible de percevoir le temps comme non-hiérarchique et plutôt les évènements qui hiérarchisent le temps. La relativité de Einstein est la pure thèse réaliste qui forme la base de notre histoire. Une ville n'a pas d'histoire sans une hiérarchisation du temps; une personne, une époque, l'univers tout simplement, n'auront pas de sens sans la notion de ce temps. Pourtant, le temps a une notion totalement arbitraire et très relativiste qui est propre à chacun. Une personne peut percevoir un évènement comme étant quelques minutes, et une autre lui paraissant des heures, alors qu'en réalité, l'évènement s'est passé en une heure pour ces deux personnes.


Si l'on ne perçoit pas le temps de la même façon, que la perception du temps est relative, alors est-ce que l'histoire de l'humanité sera perçue autrement dans des milliards d'années ? Avons-nous réellement vécus dans une espace temps qui correspond à la réalité que nous percevons ou bien est-ce encore nos sens qui nous brouillent...


La perception, une simple vision


À venir sous peu, l'écriture est en chemin.

lundi 16 août 2010

L'homme et sa fragilité à aimer


Aucune souffrance n'est comparable à celle de faire souffrir la personne qu'on a tant aimée. Une souffrance sans fin, dont aucun mot ne peut décrire. Devoir laisser la personne qu'on a tant aimée à cause de sentiments disparus est la pire souffrance existante. Ressentir le besoin d'avoir cette personne à tes côtés mais ne plus ressentir les mêmes sentiments pour elle qu'auparavant. Devoir annoncer à cette personne que c'est la fin alors qu'on ressent toujours le besoin d'être à ses côtés. Une souffrance que nul ne devrait avoir à subir. Les silences et les pleures deviennent un moment sans fin qui deviennent un mal infini. Le questionnement toujours constant du pourquoi et comment les sentiments peuvent-ils avoir disparut comme ça, devient la seule obsession qui nous préoccupe.

Se dire sur le chemin du retour, si seulement mes sentiments avaient pu revenir... Plus tu t'éloigne de cette personne, plus la souffrance devient insupportable. Lorsque la souffrance est tellement terrible que tu n'as plus rien pour t'accrocher à la vie. Tu as le pied sur la pédale de gaz et plus rien ne te retiens. C'est à ce moment-là que tu te demande si ça en vaudrait vraiment la peine. Si c'est vraiment ce que tu aurais souhaité. Tu repenses à toutes les choses faites avec cette personne; les bons moments, les choses partagées, les activités faites et des larmes viennent chatouiller tes joues. C'est à ce moment que tu réalises que tu viens de faire souffrir la personne avec qui tu as passé ces moments-là. Pire est la souffrance lorsque la personne que tu fais souffrir est une fille. Tu t'étais promis de jamais la faire souffrir et te voilà avec la pire souffrance que tu peux offrir à quelqu'un. T'en vouloir comme jamais, crier de toutes tes forces et être hors de toi lorsque tu réalises le geste poser, est une chose souhaitable à personne.

L'homme et sa fragilité à aimer devient une chose terrible pour lui-même lorsque ces sentiments deviennent interrompus. Aimer est une sentiment hors du contrôle de tout être humain, et dont il mène autant à de la joie qu'à des pleures. Cette souffrance est irréprochablement la pire dont on ne veut pas vivre. La seule chose qui vient en tête à ce moment-là est :
Si seulement......


dimanche 1 août 2010

Site web

Je suis officiellement concepteur et réalisateur de site web.

Ma conception: www.reconforte.com

Si vous êtes intéressé pour la réalisation de votre site web, vous pouvez me contactez à l'adresse suivante : gacor_ca@hotmail.com

Merci !

mercredi 21 juillet 2010

Nouveauté dans mes expériences

Bonjour, je suis présentement dans un travail de site internet: www.reconforte.com

Quand le travail du site sera terminé, je reviendrai écrire ici-même !
Si des gens sont intéressés par la conception de site web, vous pouvez me contacter, soit ici ou par courriel : gacor_ca@hotmail.com

dimanche 13 juin 2010

Pourquoi se plaindre quand on a tout ce que l'on désire


L'avoir. L'avoir est une chose que l'on possède mais est-il réellement vrai que l'on détient cette chose ? Pourquoi vouloir posséder quelque chose ne sachant pas si cette chose est éphémère. Le temps est éphémère, l'amour, l'amitié, la joie sont tous éphémères. Pourtant, la plus belle chose sur terre est pourtant là où l'on ne regarde pas. L'on désire toujours plus et ne portons pas suffisamment attention sur les choses véritablement importantes. Le temps est souvent une chose que l'on aimerait avoir davantage, pourtant, à la place de se plaindre qu'on a pas le temps, il faudrait plutôt profiter du moment présent et d'en jouir pleinement. L'amitié est une chose qui passe et que l'on doit pas laisser partir, les vrais amis sont rares mais seuls les vrais durs. Pourquoi les chercher alors que les vrais amis sont là pour t'épauler, là quand le besoin y est, là quand l'on se sent seul. La joie aussi est une chose tant voulue. La joie est une chose précieuse que tout humain cherche. Mais il ne se contente jamais de la joie qu'il transporte, il ne se croit pas combler par ce qu'il est. L'amour...l'amour est une chose tant convoité par tous et pourtant est ce qui détruit le plus de vie. Pourquoi se briser le coeur à foncer alors que l'amour est une chose qui vient toute seule.

Tout arrive quand l'on s'en attends le moins. Quand tout espoir est disparu, un bourgeon renait sans avoir rien vu venir. L'humain n'est jamais satisfait des choses qui l'entoure. Il oublie parfois les choses primordiales qui sont autour de lui; l'amitié, la joie, le temps, l'amour des gens sont toutes des choses éphémères mais pourtant c'est ce que l'être humain recherche au plus au point à chaque seconde de sa vie. Il recherche toujours plus et n'est pas satisfait de ce qu'il a. Parfois, il faut se regarder objectivement et se demander si ce que l'on a est richesse qu'il ne faut pas perdre.

Pourtant, le bonheur de chacun se cache là où l'on cherche le moins...

mercredi 5 mai 2010

Sommes-nous réellement libre ou est-ce uniquement une illusion ?


Il arrive souvent le besoin de se ressourcer afin de mieux se comprendre soi-même. Chercher à comprendre les autres, à se comprendre nous-mêmes et même à comprendre comment il a été possible de se rendre jusque là. Parfois il s'avère facile, et d'autres, où la difficulté est d'une complexité fulgurante. Il arrive d'autant plus des moments où tous fardeaux se montrent plus pesant que ce que l'on se croyait capable de porter. Se comprendre est une chose, comprendre les autres en est une autre tout aussi complexe puisque se comprendre soi-même est déjà un action complexe, mais de comprendre la situation relève d'un niveau d'analyse supérieur.

Je suis né en tant que personne ignorante et l'on m'a inculqué différentes valeurs qui font de moi l'être que je suis. Je me distingue des autres par ce que suis et par ce que je pense. Je suis libre de penser, libre de respirer, libre de manger. Libre de ne pas ranger sa chambre ? Déjà là, nous sommes peut-être en train de brimer la liberté de la personne à côté qui voudrait être libre de pouvoir avoir sa maison propre. Il faut donc se demander jusqu'où la liberté personnelle peut se rendre. Il faut se demander si en interdisant quelque chose, on brime la liberté de l'autre. Quelle liberté est la plus forte; la liberté de disposer de ses biens ou bien la liberté d'opinion ? On pourrait se dire que la la dignité de l'autre pourrait être plus importante alors c'est pourquoi il faut lui interdire une chose. Que cette personne ignore les conséquences de l'action alors pour son bien, on lui interdit. Par conséquent, il faut être conscient que nulle opinion est absolue. Il est possible de croire que l'autre soit ignorante, mais en est-il réellement ainsi ? Serait-ce le refoulement du passé qui tente de revenir et se projeter sur la personne en question ? Il faudrait se demander si la personne mérite de se faire octroyer un action pour subir les conséquences du passé.

Il en revient à connaître les personnes qui nous entoure. Est-il possible de vouloir le bien de l'autre sans le connaître ? Connaissons-nous l'autre, alors qu'il est tant difficile de se connaître soi-même ? Il faut tout d'abord apprendre à vivre avec son passé et l'assumer. Une fois cela, il est possible de se demander si la liberté de l'autre est plus importante que notre propre liberté. Pour interdire quelque chose, il faut pouvoir renverser l'action et se demander si on aimerait subir cette action à son tour. Aimerions-nous, à notre tour, se faire répondre "non" ? Il est facile d'avoir les bout de la corde, mais sache qu'il faut savoir bien les tirer. Se questionner sur son jugement ne se limite pas à son bonheur personnel mais au bonheur collectif. Son propre bonheur et le bonheur d'autrui. En interdisant quelqu'un d'aller quelque part, on se sécurise, on est content d'avoir gagné notre cause. Pour la personne touchée, cette dernière est frustrée et se renferme dans elle-même. Il serait possible de penser que cette action implique uniquement ces deux personnes alors que l'action touche une vaste quantité de personnes. On peut tout de suite se demander l'impact sur celle qui devait recevoir à son domicile la principale personne touchée par cette action. Elle va être déçue. Ainsi, cette action d'interdire devient immoral puisqu'elle brime le plus de bonheur. Elle devient donc égoïste. Est-ce qu'un chien avec une laisse est considéré comme libre ou bien possède-t-il une liberté restreinte ? Il en est ainsi de plusieurs êtres humains dont leur liberté n'est pas totale.


Mais qu'arrive-t-il lorsque l'on vient briser tous les liens qui avaient été construis ? Autant dans un sens que dans l'autre, la crédibilité de l'action devient anéanti. On remet en question sa propre identité, l'identité des personnes que l'on croyait connaître et l'action en question.
Où devient la liberté dans tout ça ? Sommes-nous libres d'agir ou bien devons-nous subir les fardeaux des autres ?

mercredi 31 mars 2010

Aussi longtemps que l'on est, moins nous sommes


Le temps, un sujet qui me fascine.
Oui le temps est un concept abstrait, probablement la quatrième dimension, mais pourtant nous cohabitons avec celle-ci. Mais qu'est-ce que le temps exactement ? Plusieurs le définirons en disant que c'est un milieu infini où des évènements se succèdent ayant des répercussions sur le monde, les êtres. Pourtant, est-ce réellement continu ? Pouvons-nous réellement dire que le temps est linéaire, là devient une question intéressante à se poser.

Comme vu précédemment dans l'article "Le présent est une chose... le passé en est une autre" les évènements s'enchaîne pas nécessairement de manière linéaire. Tout peut être vu comme un tout convergeant dans un même espace temps. Mais le temps, a-t-il réellement une corrélation linéaire ? Prenons un exemple qui permettra de mieux comprendre ces propos. Délimitons d'abord et avant tout un commencement fixe qui établira les prémices notre ligne du temps. Considérons notre échelle selon des déplacements en mois. Un mois s'écoule depuis ce début; cela implique donc que 100% (un mois) vient d'être écoulé. Rendu au deuxième mois, nous ajoutons ainsi un mois de plus ce qui donne la moitié mois de temps qu'au départ -- 1 mois + 1 mois (100%)= 2 mois -- . Continuons ainsi une autre fois pour voir davantage la situation: 2 mois+ 1 mois = 3 mois , l'ajout de 1 mois sur un total de 2 correspond à ajouter 50% du total. Nous pourrions ainsi écrire cela : 2 mois + (1/2 de 2 mois) = 3 mois. Pour le mois suivant, 3 mois + 1 mois (1/3 de 3 mois) = 4 mois, ce qui est 33% d'ajouté. Ainsi, plus le temps avance, jamais aussi longtemps on ne sera qu'au début. (Cliquez sur l'image pour mieux comprendre ce raisonnement).


Ainsi, aussi longtemps que l'on est, moins nous sommes.
Plus en plus nous vieillissons, moins de temps il nous reste à ajouter à notre vie.

mercredi 10 février 2010

Le présent est une chose... le passé en est une autre

L'homme a toujours vécu le moment présent tel qu'il se présentait sans jamais se poser de question relative à ce qu'il vivait. L'action que je fais actuellement est dite «présente», l'action faite hier est dite «passé» et l'action à venir est dite «future». Nous nous disons "au moment présent"; pourtant, le présent est-il considéré comme réel ? La philosophie de l'espace et du temps s'est déjà penchée et questionnée sur le sujet. Selon Kant, l'espace ni le temps sont considérés comme une substance mais bien comme un élément permettant de structurer nos actions.

La conception actuelle du présent est de réaliser une action au moment que je la pense. Le moment présent ou instant présent est un concept du Carpe Diem signifiant « Cueille le jour présent et sois le moins confiant possible en l'avenir ». L’instant présent fait référence à ce qui se situe entre le passé et l’avenir : l’instant immédiat. L’instant présent fait opposition à « vivre dans le passé » ou « s’inquiéter de l’avenir ».


Si nous vivons dans le présent une action qui devient passé (tel que défini dans une rubrique antérieur Le présent / passé / futur ) nous ne vivons, dès lors, plus dans le présent mais dans ce qui n'est plus. Ainsi, Certains philosophes, comme Hegel, doute de la possibilité de vivre réellement cet instant. Une phrase connue laisse à se questionner sur le déroulement réel des choses: «Aujourd'hui est le futur d'hier mais le passé de demain». Si nous analysons en détail cette phrase, il est vrai que présentement était l'idée d'hier et que nous sommes qu'un souvenir de demain. Il suffit de se limiter dans le temps pour complexifier un peu les choses. Limitons nous à une journée fixe de 24 heures. Durant cet espace temporel, il y est aussi question de moment présent, de passé et d'avenir. Là devient un peu plus compliqué d'analyser ce modèle. Une personne dénommé Véronique R. - pour garder l'anonymat - a donné la définition suivante afin de déterminer le présent: «Chose que l'on fait maintenant mais que nous prenons conscience plus tard; le présent est le souvenir du futur». Cette définition se révèle pas loin de la réalité. Nous ne sommes pas conscient de la répercussion de nos actes actuels envers le futur. Le présent marque notre passé qui reste dans notre avenir. Si l'on revient à la limite du temps fixée à 24 heures et que l'on se fit à cette définition, en limitant le temps il est plus facile de voir à quel point notre action présent nous semble anodin à première vue. Dans ce moment, le passé reste situé dans une échelle de temps de 24 heures. C'est de même pour les moments à venir. La question reste: qu'est-ce qui est considéré comme présent ? Limitons encore plus notre analyse en fixant un temps de une heure. L'action présente devient du passé après 1 heure et mon avenir est non loin devant (voir image ci-bas). Ainsi, avec ce fait, Le passé, le présent et le futur deviennent quasiment semblable. Le dernier exemple démontrera sans aucun doute que le présent est source de conflit. Si nous limitons le temps à 1 minute, le passé est uniquement 30 secondes derrière moi et le futur est de même en avant. Ainsi, plus l'on se rapproche dans le temps, moins le présent existe. Nous pouvons ainsi en écrire une formule mathématique définissant ce principe:

La limite du temps vers 0 peut être défini par une fonction de x puisque le temps est linéaire. Plus le temps tend vers 0, plus la valeur du présent est de 0.



Ainsi, Le moment présent est tellement limité à une fraction de seconde qu'il nous est impossible d'y vivre. Il est démontré hors de toute doute que le temps est relatif puisque tout peut se limiter à un simple moment. Ceci implique que vivre le moment présent implique aussi vivre dans son passé et son avenir. Il est donc possible que notre avenir résulte de notre passé...

mercredi 3 février 2010

L'être humain, un être complexe

L'être humain a toujours été considéré comme un être simple, et, de plus en plus, des philosophes se sont penchés sur la complexité de cet être. L'être humain a toujours été analysé sous différents angles mais jamais sous l'angle de l'inconscience interne. L'inconscient est une chose et notre intérieur en est une autre. L'inconscient lui-même a déjà été analyser dans une rubrique antérieur alors je ne l'analyserai pas en tant qu'élément unique mais comme un tout. Lorsque je parle de l'intérieur, je ne parle pas de la morale, de l'éthique, ou bien du subconscient de l'être humain mais plutôt du côté biologique de l'être.




La biologie a fait des découvertes que les philosophes n'ont jamais pris en considération. Si l'être humain est un être de penser, avons-nous déjà considéré le fait que l'être humain ne se résume pas uniquement à cela. Biologiquement, l'être humain est formé à la base d'atome formant des molécules, qui, par elles-mêmes, forment des organites qui créent des cellules. Rendu à cet étape, tout est considéré comme étant vivant. Une cellule, le tissus, l'organe, le système, et l'organisme sont tous un étape considéré comme vivant. Nous parlons toujours de l'être humain comme un tout, mais ne nous sommes pas questionné sur le fait que toutes choses vivantes ont des caractères uniques. Si l'on considère que l'être humain possède une âme, est-il possible d'en dire autant d'un organe étant caractérisé par les mêmes critères de vitalité que l'être humain en entier? Ainsi, un organe, étant considéré comme vivant, ne devrait être en aucun cas être coupé ou bien transplanté d'un humain à un autre puisqu'il est unique et vivant. Si nous prenons le poumons comme exemple, il doit être capable de répondre au 7 caractéristiques du vivant pour pouvoir être considéré ainsi. Le coeur peu faire de l'homéostasie en réglant toute perturbation extérieur venant perturber son équilibre interne. Par exemple, si un caillot vient bloquer un artère, le coeur tentera de pomper plus fort pour envoyer le sang jusqu'aux endroits appropriés. Le poumon peu par ailleurs répondre à un stimuli lorsqu'il s'arrête, il est possible de lui donner un choc électrique afin qu'il reparte. Il a d'ailleurs un métabolisme où le sang pourvu d'oxygène peuvent s'oxygéner et retourner cet oxygène vers les autres organes. De plus, le coeur a une évolution puisqu'il croit et se développe en même temps que nous gagnons de l'âge. Le coeur peut se reproduire d'une certaine façon en fabriquant de nouvelles veines, du nouveau sang et créent de nouvelles cellules lorsque ces dernières meurent. Ainsi, le coeur est en constante reproduction créant de nouveau vaisseaux complexifiant le système circulatoire. Par la suite, le coeur a une adaptation évolutive que nous pouvons étudier lorsque nous analysons le coeur d'un poisson, d'un oiseau et celui de l'homme, nous voyons une grande différence. De plus, le coeur de l'être humain a évolué à travers le temps. Et la dernière caractéristique, prouvant que le coeur est vivant, est l'organisation élevée. Il est évident que le coeur en possède une puisque le coeur est un organe constitué de cellules. Il est donc possible de se questionner sur le fait que les organes pourrait avoir un âme propre et un inconscient qui reste inconnu.

Ce principe de donner de l'oxygène aux autres organes pourrait-il être considéré comme de la bienveillance envers les autres organes. Auraient-ils des émotions les menant à penser aux bien-être des organes les entourant ? Cette pensée pourrait révolutionner le monde biologique et philosophique si cette pensée se montre véridique...


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