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jeudi 30 avril 2009

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lundi 27 avril 2009

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lundi 20 avril 2009

Nuages, qu'une histoire de gouttes

Qu'est-ce qu'un nuage ? Ne vous êtes jamais demandé qu'est-ce qu'un nuage en le regardant ? Vous n'avez jamais lever la tête pour regarder le ciel à contempler des nuages ?
Si l'on porte notre regard sur ce qui est dans le ciel, il est difficile de concevoir que c'est vraiment de l'eau. Comment que de l'eau dans le ciel fait pour ne pas tomber alors que sa densité est plus grande que l'air. Pourtant, lorsqu'on regarde le ciel, nous percevons des nuages à différentes hauteurs et de différentes formes. Essayons de nous percevoir ces nuages dans notre tête. D'imaginer que des gouttelettes d'eau s'y trouvent. Pourquoi alors lorsqu'on passe avec un avion à travers l'un d'eux, l'avion ne devient pas mouillé ? Nous pouvons voir au travers de ceux-ci et ce n'est pas tangible. De plus, Qu'est-ce qui fait cette couleur blanchâtre des nuages si ce sont des goutelettes d'eau (naturellement transparentes)? On les voit un jour au dessus de nos têtes, et le vent les tassent jusqu'à d'autres horizons. Peut-être que le petit nuage que l'on observait va se retrouver 200km plus loin, voire même plus. Que peut-être que la petite goutte va se voir nourrir une plante qui attendait que la pluie tombe. Que cette même goutte se retrouve par la suite à nouveau dans la terre et dérive vers un petit ruisseau. Que ce ruisseau coule dans une rivière qui se déverse dans l'océan et que la goutte, rendu à cet endroit, n'attende seulement de la chaleur du soleil pour se voir remonter où toute son histoire à débuté pour recommencer son cycle perpétuel...

lundi 13 avril 2009

Nous ne sommes rien, soyons tout

Qui sommes-nous ? Sommes-nous la plus grande créature qui existe ? Devons-nous avoir peur de quelque chose ?
Si l'on regarde sur la Terre, l'être humain est le plus grand primate pouvant chasser et règner sur le monde animal. Il peut être le prédateur de toutes espèces. Une fourmis face à lui est minusculement petit. La fourmis ne voit peut-être même pas qui nous sommes. Il ne voit qu'une petite partie de l'être humain et voit uniquement quelque chose venant de lui bloquer le chemin. De notre part, nous sommes peut-être ainsi. Il se peut probablement qu'un être plus grand que nous soit présent alors que nous ne le voyons pas entièrement et que nous ne nous sommes pas posé de question à son sujet. Si l'on se reflète à travers la Terre elle-même. Nous, notre personnalité; moi, qu'est-ce ? Présentement, je sais que je suis grand dans le monde qui m'entoure. Mais si je me transpose à la grandeur de la planète, qui suis-je ? Je suis minuscule, je ne suis rien. Nous sommes à la fois tout et rien. Maintenant, si déjà à l'échelle planétaire je suis rien, je suis quoi au niveau de l'univers ? Suis-je quelque chose dans l'univers à part un petit point ? Ai-je un but, suis-je tout simplement ? Alors si nous ne sommes rien au niveau de l'univers, est-il possible d'être tout à un plus petit niveau ? Suis-je tout pour la pauvre fourmis ? En échappant un morceau de pain, je lui donne de la nourriture sans le vouloir, en marchant, j'écrase sa famille. Ainsi donc, serais-je un tout pour elle. Ce qui détermine sa vie ? Je suis rien et à la fois tout. Serais-je capable un jour de me percevoir à travers l'univers en étant autre qu'un simple et unique point ? Suis-je rien ou suis-je un tout ?

mercredi 8 avril 2009

Aimer comme dans j'aime

J'aime qu'on aime comme j'aime qu'on m'aime;
J'aime quand j'aime comme j'aime qu'on m'aime.

T'aimer sans te connaître c'est possible, mais te connaître sans t'aimer me serait impossible. Aimer, un grand mot et facile à ressentir, mais le plus difficile c'est de se faire aimer par la personne qu'on aime. Aimer, c'est découvrir qu'on a besoin des autres pour devenir soi-même. Pourtant, aimer c'est aussi aimer notre propre personnalité.
Si l'on dit que l'amour rend aveugle, alors pouquoi accordons-nous autant d'importance à l'apparence ?

C'est avec ce sentiment qu'on apprends les rudesses de la vie. Par exemple, on ne peut apprendre à se relever avant d'être tombé en bicyclette. C'est pareil avec l'amour; on ne peut apprendre à se relever avant d'être tombé en amour. Celui qui n'a jamais appris ce qu'est l'amour, n'a donc jamais connu ce qu'est la vrai peine.


Maintenant que j'aime la vie est belle et c'est maintenant que je sais que je vis.
J'aime les gens qui vont aimer pleinement et de tout coeur. J'aime les gens qui vont aimer la vie dans toute son intégrité. J'aime les gens qui vont m'apprécier à ma juste valeur. J'aime d'aimer les gens qui m'aime. J'aime !

lundi 6 avril 2009

Dissertation 1

Voici une dissertation que j'ai fait me méritant un maigre 65% comme note. Il manquait quelques informations, entre autre le concept du Dieu.

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La création de la vie a toujours été un sujet débattu. Avant même d'avoir compris la raison de notre existence, nous nous sommes questionnés au sujet de la vie. Résultons-nous des actes accomplies durant notre vie ou sommes-nous le résultats des souvenirs qu'on laisse après notre mort? Cela signifie que si c'est les actes accomplies durant notre vie qui fait ce que nous sommes et pensons, alors Marx avait raison, et si c'est les souvenirs que nous laissons, alors c'est Descartes qui avait raison.

Tout d'abord, une représentation est une image, une figure, mis devant nos yeux ou devant l'esprit de quelqu'un. Marx est en opposition avec Descartes car ils sont respectivement matérialiste empirique et idéaliste rationaliste. Ils n’ont pas la même représentation de l’être humain. Marx présente la conscience de l’homme comme étant le résultat de la vie. La conscience est une faculté qu’a l’homme de connaître sa propre réalité et de la juger. Pour Marx, cette conscience est représentée comme un édifice où la vie est la fondation et les étages, la conscience. Pour que l’édifice soit solide et bien bâti, il faut que la fondation soit bien faite. Ainsi, la conscience est bâtie grâce aux moyens de production de l’homme, grâce aux expériences vécues. Si nous prenons, par exemple, une personne se questionnant sur son existence. Comment peux-t-elle faire pour savoir qui elle est ? Si nous positionnons cette personne devant un miroir, elle va maintenant avoir une idée de sa représentation. Cela pour dire que c’est grâce à notre existence que nous créons notre propre représentation, nos propres idées. Puisque la conscience est la faculté de connaître sa propre réalité, Marx dit donc que nous sommes influencés par le monde extérieur et que durant notre vie, notre conscience change. Si nous reprenons l’exemple du miroir, la personne, ne s’ayant jamais vu dans un miroir, croyait avoir les yeux bleus puis se voit par la suite dans le miroir et a les yeux bruns, cela veut donc dire qu’elle va avoir une nouvelle représentation d’elle-même. Pourtant ses yeux n’ont pas changés de couleur entre temps. Ainsi donc, voilà pourquoi Marx dit que la conscience est le résultat de la vie et qu’elle est déterminée par nos expériences.

De son côté, Descartes présente la conscience de l’homme comme étant le déterminant de la vie. La conscience pour Descartes est un triangle inversé avec la thèse de Marx, c’est-à-dire que la vie n’est pas au sommet du triangle d’où tout découle, mais bien la conscience au sommet. Puisque Descartes est un idéaliste, ce qui existe ne provient pas de l’expérience mais plutôt par les idées. La fameuse phrase de Descartes « Je pense, donc je suis » décrit très bien son idée. Pour Descartes, si on pense à quelque chose, c’est que cette chose existe et que penser c’est exister ; alors nous avons la certitude d’exister. Ainsi, Descartes utilise le doute systématique afin de trouver la certitude. Si penser permet d’être, alors c’est le monde des idées qui détermine la vie. Ce n’est donc pas les expériences du monde sensible qui peut déterminer la conscience puisque c’est les idées qui font que le monde sensible existe. Étant un rationaliste, Descartes soutient que tout ce qui existe a sa raison d’être, et que toute connaissance certaine vient de la raison. Ainsi donc, Descartes explique la vie grâce au fait que la conscience crée le monde sensible.

Marx et Descartes sont en désaccord tout simplement puisqu’ils utilisent deux thèses et pratiquent deux doctrines différentes. L’un décrit le monde avec l’expérience et l’autre avec les idées. L’empirisme est l’opposition au rationaliste. Nous avons tous une réalité et une représentation peu importe si nous sommes empiristes ou rationalistes. Nous résultons autant des actes accomplies durant notre vie que par les souvenirs que nous laissons.


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