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dimanche 14 novembre 2010

Soyons un miracle




Qui sommes-nous pour juger si une action est morale ou non ? Est-ce que vivre est plus moral que la mort d'une personne ? Dans plusieurs états aux États-Unis, et partout dans le monde, plusieurs personnes n'ont aucune assurance hospitalier. Des coûts faramineux se rattachent à la survie d'une personne. Où est l'action morale dans tout ceci ? Mettre un coût et décider de ceux qui survivront et ceux qui devront attendre. Qu'arrive-t-il lorsqu'une personne est grièvement malade et que sa vie tient par un seul fil ? La moralité d'une action devient une question impossible à répondre dans cette circonstance. Seule la mort d'une personne peut venir sauver la personne grièvement malade. Seule la mort d'une personne décide de la vie d'une autre. Mais où est cette équité dans la vie. Dans le cas où un parent voit son enfant s'éteindre à petit feu en attendant une greffe du coeur, quelle plus grande douleur envisageable que cela. Parfois même, il arrive que les gens ne sont même pas éligibles à la liste d'attente pour une greffe. Voir son enfant en train mourir et ne rien pouvoir faire, être totalement et entièrement à la merci du système de santé.

Lorsque l'attente d'un donneur ne peut plus se faire attendre, une question morale vient surgir dans les esprits de tous parents : S'il faut qu'un autre meurt pour que mon enfant survive, alors pourquoi je ne lui ferai pas don de ma vie ? Qu'est-ce qui devient morale comme action, s'enlever la vie ou bien sauver la vie d'une personne ? Voir son enfant mourir et devoir l'enterrer ou bien que votre enfant vous enterre. Sans aucun doute, aucun parent ne voudrait devoir enterrer son fils. Je vous laisse y penser...


Soyons celui ou celle qui donnera la vie à d'autres. Soyons le miracle que d'autres attendent.

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